La boite de Pandore de la Mondialisation.
La boîte de Pandore de la crise financière et économique.
La mondialisation est manifestement contraire aux lois de la Divine Providence, sur au moins un point essentiel, celui qui veut, pour que cette mondialisation soit rendue possible, qu’elle repose sur un puissant socle d’uniformisations permettant de faire boire, manger, distraire, d’éduquer, de circuler et de soigner les peuples de la planète avec les mêmes produits, services et énergies.
Cette obligation d’uniformité, violant les principes naturels de l’infinie biodiversité, n’est pas un enrichissement, mais exactement le contraire, comme le prouve la réalité objective. Elle fait peu à peu disparaître des cultures (agricoles et spirituelles) pour ne faire reposer ses mécanismes et ses structures que sur ce qui est marchand, exploitable, brevetable et rentable... Les OGM sont dans l’agriculture, la caricature de la cupidité humaine qui sévit dans les milieux financiers, dont de savantes "élites" pour certaines nobélisées, ont peu à peu remplacé les produits naturels de la culture financière par les OGM qu’ils appellent pompeusement les produits dérivés, dont la sophistication extrême réserve leur utilisation qu’à des techniciens grassement rémunérés. L’OGM en agriculture impose l’asservissement de l’agriculteur aux multinationales, aux industries agroalimentaires et in fine aux banques. Les OGM de la finance procède du même principe, l’épargnant traditionnel se voit refiler par son banquier, qui n’y connaît pas plus que lui, des OGM de la « haute finance », dragéifiés comme il se doit pour rendre la pilule appétissante, ce qui rend tributaire l’épargnant (souvent pour sa retraite que l’état imprévoyant est incapable de garantir) et le banquier traditionnel devenu incompétent pour cause de sophistication diabolique des produits qu’il propose. Tout ceci ayant pour objet de concentrer la richesse entre les mains de quelques puissances financières dominatrices. Résultats toujours constatables dans les faits.
Aujourd’hui un agriculteur qui voudrait cultiver une variété de blé ne nécessitant pas le recours aux semenciers dominateurs du secteur, se verrait poursuivit pénalement par la DGCCRF (et autres administrations locales chargées de défendre les intérêts des multinationales). Cette variété ne lui offrirait peut-être pas le même rendement, mais elle aurait l’avantage de ne nécessiter aucune utilisation de ruineux produits phyto sanitaires sans lesquels les OGM ne sont que des calamités couteuses. En outre, l’agriculteur, comme l’ont toujours fait ses ancêtres, ne serait pas obligé de racheter ses semences d’une année sur l’autre, puisqu’il lui suffirait de conserver une faible partie de sa récolte, pour produire la suivante, ce qui n’est plus possible aujourd’hui.
Cet appauvrissement des cultures, est ruineuse en ressources naturelles, comme l’eau (pollution des nappes phréatiques entre autres gaspillages), en préservation des terres arables, en dépenses d’énergies, et même en destruction massive des agents naturels, gratuits et bienveillants que Mère Nature met gratuitement à notre disposition, je veux parler de nos adorables et précieuses abeilles...
Tout ce qui entrave la biodiversité, sur quelque plan où cela se situe, est en vérité contraire aux lois de la Création, et la mondialisation, dans sa forme cupide actuelle, n’est pas autre chose qu’une monstruosité contre nature, et une entreprise d’appauvrissement de toute forme de culture.
Un principe de simple bon sens veut que lorsqu’une cause est mauvaise, quelle que soit l’intelligence qui se met au service de cette cause, les résultats ne soient jamais autrement que calamiteux. Un principe hermétique veut que lorsque la vertu devient complaisante avec le vice, cela signe invariablement la victoire de ce dernier. Ceci pour dire, que si ceux qui dirigent le monde — et qui ont fait la démonstration de leur totale incapacité à prévoir les catastrophes financières et économiques, que d’autres avaient pourtant annoncés depuis déjà quelques années -, trouvent des solutions provisoires pour sauver le système de la mondialisation en place, ils vont devoir se confronter rapidement à un autre effet pervers de cette structure vaniteuse et corrompue qui est le suivant :
De là où je me tiens, je remarque que nos gouvernants, qui ne brillent ni par leur compétence, ni par leur vision de l’Histoire, ni par leurs principes moraux qui leur donneraient une once de respectabilité, viennent d’ouvrir une terrifique boite de Pandore de laquelle va, me semble-t-il, sortir des calamités qu’ils vont devoir gérer en situation paradoxale...
Parmi toutes celles en incubation, j’en vois une spécifique qui découle du fait que donner des centaines, peut-être des milliers de milliards de dollars, d’euros ou de roupies pour sauver les banques, les banquiers, et les montagnes de profits antérieurement accumulés, alors qu’il va falloir, tôt ou tard, mettre au régime plus que sec les gueux de la classe moyenne, et tout le prolétariat laborieux auxquels on n’accordait jusqu’ici que des poussières d’augmentations de revenus, et auxquels on demandait toujours plus de contributions sociales, fiscales et téléthonnesques ; comment me dis-je en mon for, vont-ils faire pour leur faire payer cette immorale et monstrueuse FACTURE sans qu’ils ne se produisent, en plus des prévisibles émeutes de la faim, de justes et terribles révoltes de la colère que va abondamment nourrir cette injustice, et que nos gouvernants vont traîner très longtemps comme une épouvantable malédiction?... COMMENT ?....
Le sauvetage des banques, qui vont continuer à prélever leurs dimes sur chaque compte de chaque client - à l’image d’une époque où l’Église romaine utilisait la force royale pour encaisser la sienne chez le moindre manant -, va en plus prélever sur le fruit de leur difficile et incertain travail, des ressources considérables par le biais de la fiscalité. Ces banques et les gouvernements qui les auront soutenus et sauvés ne finiront-t-ils pas par apparaître pour ce qu’ils sont : de cupides escrocs pratiquant l’abus de bien social ?...
Cette obligation d’uniformité, violant les principes naturels de l’infinie biodiversité, n’est pas un enrichissement, mais exactement le contraire, comme le prouve la réalité objective. Elle fait peu à peu disparaître des cultures (agricoles et spirituelles) pour ne faire reposer ses mécanismes et ses structures que sur ce qui est marchand, exploitable, brevetable et rentable... Les OGM sont dans l’agriculture, la caricature de la cupidité humaine qui sévit dans les milieux financiers, dont de savantes "élites" pour certaines nobélisées, ont peu à peu remplacé les produits naturels de la culture financière par les OGM qu’ils appellent pompeusement les produits dérivés, dont la sophistication extrême réserve leur utilisation qu’à des techniciens grassement rémunérés. L’OGM en agriculture impose l’asservissement de l’agriculteur aux multinationales, aux industries agroalimentaires et in fine aux banques. Les OGM de la finance procède du même principe, l’épargnant traditionnel se voit refiler par son banquier, qui n’y connaît pas plus que lui, des OGM de la « haute finance », dragéifiés comme il se doit pour rendre la pilule appétissante, ce qui rend tributaire l’épargnant (souvent pour sa retraite que l’état imprévoyant est incapable de garantir) et le banquier traditionnel devenu incompétent pour cause de sophistication diabolique des produits qu’il propose. Tout ceci ayant pour objet de concentrer la richesse entre les mains de quelques puissances financières dominatrices. Résultats toujours constatables dans les faits.
Aujourd’hui un agriculteur qui voudrait cultiver une variété de blé ne nécessitant pas le recours aux semenciers dominateurs du secteur, se verrait poursuivit pénalement par la DGCCRF (et autres administrations locales chargées de défendre les intérêts des multinationales). Cette variété ne lui offrirait peut-être pas le même rendement, mais elle aurait l’avantage de ne nécessiter aucune utilisation de ruineux produits phyto sanitaires sans lesquels les OGM ne sont que des calamités couteuses. En outre, l’agriculteur, comme l’ont toujours fait ses ancêtres, ne serait pas obligé de racheter ses semences d’une année sur l’autre, puisqu’il lui suffirait de conserver une faible partie de sa récolte, pour produire la suivante, ce qui n’est plus possible aujourd’hui.
Cet appauvrissement des cultures, est ruineuse en ressources naturelles, comme l’eau (pollution des nappes phréatiques entre autres gaspillages), en préservation des terres arables, en dépenses d’énergies, et même en destruction massive des agents naturels, gratuits et bienveillants que Mère Nature met gratuitement à notre disposition, je veux parler de nos adorables et précieuses abeilles...
Tout ce qui entrave la biodiversité, sur quelque plan où cela se situe, est en vérité contraire aux lois de la Création, et la mondialisation, dans sa forme cupide actuelle, n’est pas autre chose qu’une monstruosité contre nature, et une entreprise d’appauvrissement de toute forme de culture.
Un principe de simple bon sens veut que lorsqu’une cause est mauvaise, quelle que soit l’intelligence qui se met au service de cette cause, les résultats ne soient jamais autrement que calamiteux. Un principe hermétique veut que lorsque la vertu devient complaisante avec le vice, cela signe invariablement la victoire de ce dernier. Ceci pour dire, que si ceux qui dirigent le monde — et qui ont fait la démonstration de leur totale incapacité à prévoir les catastrophes financières et économiques, que d’autres avaient pourtant annoncés depuis déjà quelques années -, trouvent des solutions provisoires pour sauver le système de la mondialisation en place, ils vont devoir se confronter rapidement à un autre effet pervers de cette structure vaniteuse et corrompue qui est le suivant :
De là où je me tiens, je remarque que nos gouvernants, qui ne brillent ni par leur compétence, ni par leur vision de l’Histoire, ni par leurs principes moraux qui leur donneraient une once de respectabilité, viennent d’ouvrir une terrifique boite de Pandore de laquelle va, me semble-t-il, sortir des calamités qu’ils vont devoir gérer en situation paradoxale...
Parmi toutes celles en incubation, j’en vois une spécifique qui découle du fait que donner des centaines, peut-être des milliers de milliards de dollars, d’euros ou de roupies pour sauver les banques, les banquiers, et les montagnes de profits antérieurement accumulés, alors qu’il va falloir, tôt ou tard, mettre au régime plus que sec les gueux de la classe moyenne, et tout le prolétariat laborieux auxquels on n’accordait jusqu’ici que des poussières d’augmentations de revenus, et auxquels on demandait toujours plus de contributions sociales, fiscales et téléthonnesques ; comment me dis-je en mon for, vont-ils faire pour leur faire payer cette immorale et monstrueuse FACTURE sans qu’ils ne se produisent, en plus des prévisibles émeutes de la faim, de justes et terribles révoltes de la colère que va abondamment nourrir cette injustice, et que nos gouvernants vont traîner très longtemps comme une épouvantable malédiction?... COMMENT ?....
Le sauvetage des banques, qui vont continuer à prélever leurs dimes sur chaque compte de chaque client - à l’image d’une époque où l’Église romaine utilisait la force royale pour encaisser la sienne chez le moindre manant -, va en plus prélever sur le fruit de leur difficile et incertain travail, des ressources considérables par le biais de la fiscalité. Ces banques et les gouvernements qui les auront soutenus et sauvés ne finiront-t-ils pas par apparaître pour ce qu’ils sont : de cupides escrocs pratiquant l’abus de bien social ?...
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9 commentaires:
- En espérant que ces banques ne viennent pas à faire faillites, sans quoi le peuple passera de simple "cautionneur" à "payeur". Je ne savais pas que les lois prévoyaient de mettre quelqu'un comme caution, sans lui demander son avis ? Oui, on me répondra sûrement... "RAISON D'ETAT !!!" Bon ben si la raison d'état veut protéger les banques malhonnêtes au détriment du peuple, grand bien lui fasse. Ce qui ne durera qu'un temps. La suite que j'imagine ressemble beaucoup à ce sujet des plus intérressants, puisqu'il nous concerne tous directement. Merci l'auteur.
- Bonjour, bonne analyse de ce pillage et de la formidable reconcentration du capital. Mais en mon for interieur, je pense que plus vite cette monstrueuse machine aura jouee ses cartes, plus vite on passera a quelque chose d'autre. Mais je pense qu'il est d'urgence de RESPONSABILISER les fauteurs et leurs gardes chiourmes, car c'est trop facile de pretendre au derapage et d;ensuite piller les biens communs prevus pour l'eduaction, la culture la sauvegarde de notre environnement pour refaire tourner la mauvaise planche a billet. Bien avous KA
- Je crains fort que la partie ne fasse que commencer... Les banques jouent avec un jeu de 52 cartes uniquement composé de jokers et d’As, pendant que le serveur nous distribue les cartes du jeu des 7 familles... Les gouvernements viennent de faire la démonstration qu’ils sont pieds et poings liés entre les mains de la finance internationale, et lorsque ces gouvernements se seront outrageusement endettés pour sauver les profits des banques, elles viendront leur passer la corde de l’endettement au cou, pour en tirer, par le biais de l’impôt, de colossaux profits... Non seulement les cartes sont différentes, mais le jeu est dès le départ totalement truqué... Question pour un champion : Pourquoi les états qui sont à l’origine de la création des monnaies, sont-ils obligés d’emprunter à des organismes privés avec l’obligation de payer de monumentaux intérêts ?
- Pour instaurer la main mise des banksters (ou illuminatis) sur la finance international, la mise en place du nouvel ordre financier est proche. Ordo ab chaos (l'ordre à partir du désordre), créer une crise et y apporter la solution alors tous les peuples voudront de ce Nouvel Ordre Mondial qu'ils accueilleront comme sauveur. Cela fait longtemps que les gouvernements ont perdus leurs droits d'imprimer la monnaie, voici quelques documentaires à voir sur ce sujet qui explique bien ce Plan occulte: - Zeitgeist Addendum VOSTFR: http://dotsub.com/view/7281f5dc-d4b1-4315-abb7-143becd34f49 - Bankster.tv : http://bankster.tv/ Bien cordialement, Schulmeister.
- En quoi le nouvel ordre mondial serait-il si mauvais ?
- Pour un nombre incalculable de raisons... Parce qu’il est polluant, qu’il procède du pillage inconsidéré des ressources naturelles, qu’il réduit drastiquement la biodiversité (OGM) et la diversité culturelle par l’unification nécessaire à un dogme, car sans dogme il n’y a pas de nouvel ordre MONDIAL ; parce qu’il est obligatoirement l’expression la plus manifeste de la loi du plus fort. Plus fort financièrement, plus fort industriellement, plus fort multinationalement, plus fort militairement. Parce que le principe de la mondialisation d’une civilisation, sans respect des distinctions géographiques, culturelles et cultuelles, passe par l’asservissement aux règles qu’il impose et sans lesquelles il ne pourrait exister. Le nouvel ordre mondial est conflictuel, violent, injuste, dominateur et destructeur de valeurs, comme le démontre la puissante crise financière présente. La précédente (celle de 1929), était déjà le résultat de la mise en place d’une mondialisation... Les mêmes causes produisent manifestement les mêmes effets, depuis la tour de Babel...
- La comparaison avec la tour de Babel est parfaite. Quelle habileté à manier les mots dans cette réponse Lug, Gardien du temple. Pour toutes ces raisons le N.O.M est le Mal qui ronge notre belle planète. Pour reprendre une phrase du doc Zeitgeist, le pouvoir corrompt et le pouvoir absolu corrompt absolument. Sans compter que celui-ci est manigancé dans le secret occulte le plus complet depuis des siècles. Ce n'est que très récemment qu'il s'esquisse comme étant un projet politique après de longues décennies de préparation et de conditionnement des peuples. Bien à vous, Schulmeister.
- Bonjour, un petit clin d'oeil sur: '"The issues are too complex, the problem is too significant to try to solve, or to come with reasonable recommendations in just one meeting," Au G20 le 14.11.2008 Donc les questions sont trop compliquees, le probleme est trop significatif pour tenter de le resoudre ou de presenter des recommandations lors d'une seule reunion'. Pour une fois c'est un demi-mensonge a tete de Janus KA
- Hello, Lorsque un(des) gouvernement(s) ne comprend pas un problème, il le contourne en créant des lois hasardeuses. Celles-ci ne faisant que reculer le problème tout en créant d'autres problèmes encore plus compliqués à résoudre puisqu'ils s'écartent inéxorablement de la cause première. Du coup, me dis-je, le G20 composé d'hommes inaptent et incompétents pour cause de pensées nombrilistes, (conserver le système pour tous les profits qu'ils peuvent en tirer) ne pourra qu'amplifier les problèmes. On se dirige donc vers un chao sans nom.(Pauvreté, famines, violences ect...) Les grosses industries que je compare à des vampires les plus infâmes de la période du Kali Yuga s'emparent même de l'eau qu'elle fait payer ensuite très cher aux plus pauvres. Ils créent eux-mêmes la potence de leur pendaison. (Voir 1789). Et de voir les G7, G8, G9, G20 ect me ferait presque rire si je ne voyais pas derrière les vampires leur chuchoter à l'oreille des choses dont je ne préfère même pas parler.
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