la libye ,sarkozy et une surprise !

Comme Hillary Clinton se prépare à discuter de la Libye avec le président Nicolas Sarkozy cet après-midi, elle pourrait être pardonné pour une touche de confusion sur ce qu'est exactement les Français sont à. Dans une tentative pour compenser la complicité et de l'indécision en Tunisie et l'Egypte, la France a bloqué sa tête sur le billot sur la Libye. Après des hésitations initiales, il est devenu le défenseur le plus vigoureux d'une zone d'exclusion aérienne dans le pays, et travaille avec la Grande-Bretagne sur une résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies à cette fin. Jusqu'à présent, si recommandable. Mais sa décision apparente la semaine dernière de reconnaître l'opposition libyenne? La première grande puissance occidentale à le faire? Surpris non seulement alliés de la France? S mais les membres de M. Sarkozy? S propre gouvernement.

position plus affirmée de la France a commencé à émerger la semaine dernière. Les Français étaient à la recherche sérieusement à la planification militaire nécessaire pour établir une zone d'exclusion aérienne dans l'espace aérien libyen, qui prendrait plusieurs semaines pour rendre opérationnel, a déclaré un responsable à l'époque. Ils «préfèrent de loin" ce qui aura lieu avec le soutien de l'ONU, mais ils ont reconnu que ce serait difficile, ils étaient sceptiques quant à aller dans le cadre d'un parapluie de l'OTAN en raison de l'alliance image s dans le monde arabe comme un outil américain?. Mais est-ce les Français reconnaissent officiellement l'opposition libyenne? "La France reconnaît les Etats, ne sont pas parties", a déclaré un haut fonctionnaire le 9 Mars.

Strange, alors, que le lendemain matin, le 10 Mars, deux représentants de l'opposition libyenne de sortir d'une rencontre avec le président Sarkozy à l'Elysée? E Palais d'annoncer que «la France reconnaît la Jamahiriya Conseil national de transition comme le représentant légitime de la peuple libyen ". France, ont-ils ajouté, serait d'envoyer un ambassadeur à Benghazi, leur fief. Bizarrement, la rencontre a été animé par Bernard-Henri L? Vy, un philosophe de gauche et de célébrité médiatique, qui a exhorté M. Sarkozy d'intervenir. M. L? Vy, qui n'a pas de rôle officiel diplomatiques, a annoncé que la France envisage des frappes aériennes ciblées.

Certains de France? S amis européens, qui se préparaient à se réunir à Bruxelles le 11 pour les pourparlers d'urgence sur la Libye Mars, ont été pris de court. Mais ils n'étaient pas les seuls. Alain Jupp?, Le nouveau ministre français des Affaires étrangères, a été, selon les sources, totalement dans l'obscurité. Il en était de l'équipe diplomatique dans le bureau du premier ministre, François Fillon. Encore plus étrange, il n'y a pas communiqu officielle? de la présidence confirme que la France avait proposé la reconnaissance du Conseil diplomatique libyenne. Le texte d'une lettre, adressée conjointement par M. Sarkozy avec la Grande-Bretagne? De David Cameron à ses collègues européens le 10 Mars, a été beaucoup plus mesurée. Il n'a pas plus de? De bienvenue? la formation du conseil de la Libye, et a exhorté les autres Européens à considérer le Conseil? pour être valide interlocuteurs politiques?. Presque le même que la reconnaissance diplomatique formelle.

Que faire de tout cela? L'impopulaire M. Sarkozy, qui fait face à une élection présidentielle l'an prochain, veut clairement montrer aux électeurs qu'il peut prendre la tête. En effet, il a nommé M. Jupp? précisément pour injecter un peu de professionnalisme et la stabilité dans la diplomatie française, après une série malheureuse d'erreurs de jugement par Mich? le Alliot-Marie, l'ancien ministre étranger. Les Français avaient été capturés au cours des soulèvements snoozing arabes, et M. Sarkozy espère que son équipe remaniée diplomatique pour restaurer la crédibilité dans les affaires étrangères. M. Jupp?, Qui est très apprécié par les diplomates, avait fait un bon départ, ce qui semble jouir d'un degré d'indépendance de l'Elysée bien courir? E équipe diplomatique. Mais la décision impromptue de reconnaître l'opposition libyenne, si c'est bien ce que c'était, semble inquiétant comme un retour à l'élaboration des politiques par impulsion et de l'improvisation.