France24 - Epypte: 7 morts, 24 blessés dans un attentat devant une église d'Alexandrie: "Epypte: 7 morts, 24 blessés dans un attentat devant une église d'Alexandrie
Un attentat à la voiture piégée a fait au moins sept morts et 24 blessés devant une église d'Alexandrie, frappant la communauté chrétienne égyptienne, la plus importante du Moyen-Orient, pendant la nuit du Nouvel An.
AFP - Un attentat à la voiture piégée a fait au moins sept morts et 24 blessés devant une église d'Alexandrie, frappant la communauté chrétienne égyptienne, la plus importante du Moyen-Orient, pendant la nuit du Nouvel An.
L'explosion, non revendiquée, s'est produite vers minuit et demi alors que des fidèles sortaient de l'église des Saints (al-Qiddissine), située dans le quartier de Sidi Bechr de la grande ville du nord de l'Egypte.
'Les hôpitaux ont dénombré sept morts et 24 blessés, dont huit musulmans', selon un bilan provisoire communiqué par le ministère de l'Intérieur, qui précise qu'il y a eu des dégâts matériels dans l'église et dans une mosquée voisine.
Selon le ministère, la voiture qui a explosé se trouvait à l'arrêt devant l'église, et une enquête a été ouverte par le parquet général.
Un témoin oculaire a affirmé sur la chaîne privée On-TV avoir vu une voiture de marque Skoda verte arriver devant l'église à 00H20. Une fois garée, des hommes en sont sortis et l'explosion a eu lieu presque aussitôt. D'autres témoins parlent également d'une très forte explosion vers minuit et demi, et décrivent une voiture carbonisée devant l'église et d'autres véhicules endommagés.
De nombreuses ambulances se sont rendues sur les lieux pour évacuer les blessés, dont certains, selon les services de secours, ont également été transportés dans des voitures privées.
Les forces de l'ordre se sont déployées en masse aux alentours des lieux de l'explosion.
Selon une source au sein des services de sécurité, plusieurs dizaines de chrétiens en colère ont manifesté devant une mosquée située en face de l'église en s'en prenant à la police. La porte et des fenêtres de la mosquée ont été endommagées. Refaa al-Tahtaoui, le porte-parole d'al-Azhar, la grande institution de diffusion de l'islam sunnite basée au Caire, est intervenu sur la télévision publique pour dénoncer cet attentat qui vise selon lui 'l'unité nationale égyptienne' et pour appeler chrétiens et musulmans au calme.
Cet attentat, qui n'était pas revendiqué plusieurs heures après avoir été commis, survient deux mois après des menaces d'un groupe se réclamant d'Al-Qaïda en Irak contre les Coptes, ou chrétiens d'Egypte. Ce groupe avait revendiqué le 31 octobre dernier l'attaque sanglante contre la cathédrale syriaque catholique de Bagdad, au cours de laquelle 46 civils (dont deux prêtres), sept membres des forces de sécurité et les cinq assaillants avaient péri.
Le groupe avait menacé de s'en prendre aux Coptes d'Egypte si leur église ne libérait pas deux chrétiennes présentées comme 'emprisonnées dans des monastères' pour s'être converties à l'islam. Les deux femmes mentionnées par Al-Qaïda sont Camilia Chehata et Wafa Constantine, les épouses de prêtres coptes dont la conversion supposée à l'islam a provoqué des remous en Egypte.
Les Coptes, la plus importante communauté chrétienne du Moyen-Orient, représentent 6 à 10% des 80 millions d'Egyptiens selon les estimations.
En 2006, un homme avait attaqué des fidèles dans trois églises d'Alexandrie, tuant une personne et en blessant d'autres. Il avait été présenté par les autorités comme 'souffrant de troubles psychologiques', une version rejetée par la communauté copte.
En novembre dernier, de violents heurts ont eu lieu dans un quartier au sud-ouest du Caire entre des manifestants coptes et la police après que les autorités locales eurent refusé la transformation d'un centre communautaire en lieu de culte. Deux chrétiens ont été tués et des dizaines blessés dans ces affrontements.
Le 6 janvier 2010, six Coptes avaient été tués par des hommes armés à la sortie d'une messe à Nagaa Hamadi, en Haute-Egypte, à la veille du Noël copte.
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je poste des infos tous les jours ,tout sujet ! les premiers posts concernent mon travail artistique !
Friday, December 31, 2010
Mercante di morte
non à la drogue ! a droga fora !!
Thursday, December 30, 2010
Petit patrimoine - Les girouettes - Les Journées… - Votre contribution… - Les colombiers ou… - Le petit patrimoine… - La tour de… - Décrottoirs et… - Les glacières dans… - Les oratoires de… - Le mur de la peste - Nadine de Trans en Provence
Petit patrimoine - Les girouettes - Les Journées… - Votre contribution… - Les colombiers ou… - Le petit patrimoine… - La tour de… - Décrottoirs et… - Les glacières dans… - Les oratoires de… - Le mur de la peste - Nadine de Trans en Provence: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
hommage a Eric,sapeur-pompier de corse,décèdé en interventio
Pompier
Quand le devoir m'appelle , Dieu mon ami ,
Et que les flammes sans pitié ravagent ,
Donne-moi la force de sauver des vies
Surtout de ne jamais perdre courage.
Avec toi j'atteindrai avant qu'il soit trop tard,
Le petit enfant blessé, le malheureux vieillard,
Qu'il me soit permis dans ta générosité
De leur épargner l'horreur de cette destinée.
Puisqu'en tout temps , il me faut être alerte,
Je t'en prie Seigneur , guide tous mes gestes.
Dans le tumulte infernal de l'incendie,
Fais-moi entendre le plus faible des cris.
C'est avec gloire que je remplirai ma destinée,
Sauver des vies , n'est-ce pas le plus beau des métiers?
Quand le calme revient et que chacun retrouve ses biens,
C'est alors que je serai fier d'avoir aidé mon prochain.
S'il arrivait , que par ta volonté ,
Ma vie je sois obligé de donner ,
Je te prie de veiller sur les miens ,
Et de bénir en moi le pompier qui est tiens.
Wednesday, December 29, 2010
Les Provençaux sont-ils trop fiers pour accepter qu'ils sont....
Les Provençaux sont-ils trop fiers pour accepter qu'ils sont ,comme nos frères Corses,Occitans,Basques,Bretons et tous les Peuples opprimés, entrain de se faire voler leurs terres,leurs âmes, leurs racines ,leurs langues ,leur Dignité ??? et qu'ils ,enfin,se battent pour leur Liberté , leur Indépendance face à l' ogre parisien !!
Accademia Corsa: les essais et conférences
Accademia Corsa: les essais et conférences: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Les origines du drapeau corse
Les origines du drapeau corse: "Les origines du drapeau corse
Beaucoup de choses ont été écrites au sujet de l'étendard à tête de maure, de nombreuses légendes ont été inventées ou colportées en occultant l'aspect historique. Si des incertitudes demeurent, une chose est sûre, le drapeau corse à tête de maure est officialisé lors de l'indépendance du XVIIIe siècle, ce qui en fait l'un des plus anciens d'Europe !
De nombreuses légendes sont nées autour du drapeau corse, la plus célèbre faisant état d'une habitude qu'auraient eu les Corses de couper la tête des guerriers sarrasins pour la mettre au sommet de pics qu'ils brandissaient à l'arrivée de nouveaux conquérants. Mais, nous ne devons pas accorder d'importance à ces légendes, l'origine du drapeau corse est à rechercher ailleurs. Il apparaît évident aujourd'hui que la tête de maure est d'origine aragonaise.
L'Aragon était un royaume du Moyen Age qui correspondrait à peu près à la Catalogne actuelle, en plus grand. En 1467, l'alliance des Royaumes de Castille et d'Aragon donnera naissance à l'Espagne. Le Roi d'Aragon avait dans son emblème quatre têtes de maure avec le diadème sur les yeux.
En 1297, ce Roi reçoit la gestion de la Sardaigne et de la Corse du pape Boniface VIII. Cependant, le roi d'Aragon ne s'implantera qu'en Sardaigne, délaissant la Corse. On retrouve d'ailleurs dans les armes de la ville de Cagliari les quatre têtes de maure, et depuis 1952, c'est officiellement le drapeau de la Sardaigne.
En héraldique, lorsque l'on bat un ennemi, on peut lui prendre son drapeau ou une partie. C'est ainsi que l'on pense que les têtes de maure du drapeau aragonais correspondent à la participation de ce dernier aux croisades victorieuses contre les ' infidèles ' pour libérer la terre sainte et créer les états latins d'Orient. De même on peut également penser à la participation des Aragonais à la Reconquista. Le Maure symbolisant le guerrier sarrasin battu. La tête de maure apparaît pour la première fois dans les armes du roi d'Aragon en 1281 : le roi Pierre III le Grand utilisait un sceau composé d'une croix et quatre têtes de maure.
Il est à noter qu'à la fin du XIVe siècle et au début du XVe siècle, plusieurs seigneurs corses (comme Della Rocca et Vincentello) qui luttent contre Gênes et qui tentent de favoriser le parti aragonais en Corse auraient adopté dans leurs armoiries la tête de maure.
Au XVe siècle, des régiments composés de soldats corses et sardes au service de différentes puissances italiennes sont représentés avec des drapeaux à tête de maure. Ce qui n'est pas surprenant, puisque à l'époque la Corse n'a pas encore de drapeau, on peut penser que c'est la Sardaigne, déjà représentée par les têtes de maure, qui prend le dessus.
Finalement, c'est au XVIe siècle que la tête de maure est attestée pour la première fois comme le drapeau de la Corse. Le géographe italien Mainaldi Galerati établit en 1573 un atlas des possessions de Philippe II roi d'Espagne, avec des armoiries pour chaque province. La République de Gênes qui administre la Corse étant alliée de l'Espagne et le roi d'Espagne portant dans son titre ' Roi de Corse ' (et c'est encore le cas actuellement) depuis que le pape en avait confié la gestion au Roi d'Aragon, M. Galerati décide de faire figurer la Corse dans cet atlas, et comme il n'en connaît pas les armes, il décide d'y mettre une tête de maure, sans doute pour différencier la Corse de la Sardaigne pour laquelle on en mettait quatre. Le Hollandais Joan Blaeu en fera de même en 1662. Un autre atlas que l'on doit à l'Allemand Seutter en 1731 attestera une nouvelle fois la tête de maure.
En 1735, les chefs révolutionnaires corses déclarent l'indépendance et placent la Corse sous la protection de la Sainte Vierge. L'immaculée conception devient jour de la fête nationale (le 8 décembre), et le drapeau corse est une image de l'immaculée conception sur fond blanc. Gênes réplique à cette déclaration en envoyant des troupes alliées en Corse pour réprimer la révolution. En 1736, la Corse toujours en quête d'indépendance se dote d'un monarque, Théodore de Neuhoff.
Ce baron d'origine allemande corsise ses armes en y ajoutant une tête de maure, qu'il a dû prendre sur l'atlas de son compatriote Seutter. La tête de maure porterait alors pour la première fois le bandeau sur le front et non sur les yeux (Cette théorie est controversée et certains pensent que c'est Paoli qui aurait relevé le bandeau sur le front en déclarant ' Désormais le bandeau royal est bien placé comme il faut et comme il convient à notre dignité et non pour notre honte, comme le voulaient nos ennemis). On peut affirmer que c'est bien au XVIIIe siècle que le bandeau est relevé sur le front et cela a été interprété par les historiens comme une manière pour la Corse d'ouvrir les yeux après plusieurs siècles d'obscurantisme et de domination génoise. Le royaume de Théodore 1er ne dure que 6 mois, mais les révoltes corses continuent.
En 1745, Ghjuvan Petru Gaffori est nommé général en chef de la nation corse, et lors d'un assaut de la citadelle de Corti, il brandit le drapeau à tête de maure. Pasquale de' Paoli sera nommé également général unique des Corses en 1755, deux ans après l'assassinat de Gaffori. C'est Pasquale de' Paoli, u babbu di a Patria qui officialise définitivement le drapeau blanc à tête de maure. Paoli propose d'enlever les boucles d'oreille et le collier qui figuraient sur les anciennes versions de la tête de maure, sans doute pour exprimer le fait que la Corse sort de l'esclavage pour devenir libre.
La cunsulta de Corti décide le 24 novembre 1762 de faire de la tête de maure le drapeau de la Corse. Cette tête de maure figurera désormais sur la monnaie corse. On la retrouve dans tous les actes administratifs. Le pavillon à tête de maure est également hissé sur les bateaux de la marine nationale corse. La tête de maure sur fond blanc (qui rappelle l'immaculée conception) est depuis l'emblème officiel de la Corse. Il sera confirmé en 1794, lors de l'époque de la seconde indépendance, lorsque les Corses se séparent de la France pour créer le royaume anglo-corse.
Aujourd'hui la tête de maure est reconnue de partout en Europe comme le symbole de la Corse et c'est d'ailleurs l'un des drapeaux européens les plus anciens.
Dr Ghjuvan Filippu Antolini
Sources :
Pierre Antonetti, Trois études sur Paoli, La marge Editions.
Ghjuvan Filippu Antolini, Les origines du drapeau corse, Primure, Editions d'Altri Orizonti, 1995.
Article ' Quelques idées sur l'origine du drapeau corse ' de Jérôme Potentini, février 1995, sur le site d'Academia Corsa (http://www.accademiacorsa.org/).
Lexilogos (http://www.lexilogos.com/corse_carte.htm).
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Beaucoup de choses ont été écrites au sujet de l'étendard à tête de maure, de nombreuses légendes ont été inventées ou colportées en occultant l'aspect historique. Si des incertitudes demeurent, une chose est sûre, le drapeau corse à tête de maure est officialisé lors de l'indépendance du XVIIIe siècle, ce qui en fait l'un des plus anciens d'Europe !
De nombreuses légendes sont nées autour du drapeau corse, la plus célèbre faisant état d'une habitude qu'auraient eu les Corses de couper la tête des guerriers sarrasins pour la mettre au sommet de pics qu'ils brandissaient à l'arrivée de nouveaux conquérants. Mais, nous ne devons pas accorder d'importance à ces légendes, l'origine du drapeau corse est à rechercher ailleurs. Il apparaît évident aujourd'hui que la tête de maure est d'origine aragonaise.
L'Aragon était un royaume du Moyen Age qui correspondrait à peu près à la Catalogne actuelle, en plus grand. En 1467, l'alliance des Royaumes de Castille et d'Aragon donnera naissance à l'Espagne. Le Roi d'Aragon avait dans son emblème quatre têtes de maure avec le diadème sur les yeux.
En 1297, ce Roi reçoit la gestion de la Sardaigne et de la Corse du pape Boniface VIII. Cependant, le roi d'Aragon ne s'implantera qu'en Sardaigne, délaissant la Corse. On retrouve d'ailleurs dans les armes de la ville de Cagliari les quatre têtes de maure, et depuis 1952, c'est officiellement le drapeau de la Sardaigne.
En héraldique, lorsque l'on bat un ennemi, on peut lui prendre son drapeau ou une partie. C'est ainsi que l'on pense que les têtes de maure du drapeau aragonais correspondent à la participation de ce dernier aux croisades victorieuses contre les ' infidèles ' pour libérer la terre sainte et créer les états latins d'Orient. De même on peut également penser à la participation des Aragonais à la Reconquista. Le Maure symbolisant le guerrier sarrasin battu. La tête de maure apparaît pour la première fois dans les armes du roi d'Aragon en 1281 : le roi Pierre III le Grand utilisait un sceau composé d'une croix et quatre têtes de maure.
Il est à noter qu'à la fin du XIVe siècle et au début du XVe siècle, plusieurs seigneurs corses (comme Della Rocca et Vincentello) qui luttent contre Gênes et qui tentent de favoriser le parti aragonais en Corse auraient adopté dans leurs armoiries la tête de maure.
Au XVe siècle, des régiments composés de soldats corses et sardes au service de différentes puissances italiennes sont représentés avec des drapeaux à tête de maure. Ce qui n'est pas surprenant, puisque à l'époque la Corse n'a pas encore de drapeau, on peut penser que c'est la Sardaigne, déjà représentée par les têtes de maure, qui prend le dessus.
Finalement, c'est au XVIe siècle que la tête de maure est attestée pour la première fois comme le drapeau de la Corse. Le géographe italien Mainaldi Galerati établit en 1573 un atlas des possessions de Philippe II roi d'Espagne, avec des armoiries pour chaque province. La République de Gênes qui administre la Corse étant alliée de l'Espagne et le roi d'Espagne portant dans son titre ' Roi de Corse ' (et c'est encore le cas actuellement) depuis que le pape en avait confié la gestion au Roi d'Aragon, M. Galerati décide de faire figurer la Corse dans cet atlas, et comme il n'en connaît pas les armes, il décide d'y mettre une tête de maure, sans doute pour différencier la Corse de la Sardaigne pour laquelle on en mettait quatre. Le Hollandais Joan Blaeu en fera de même en 1662. Un autre atlas que l'on doit à l'Allemand Seutter en 1731 attestera une nouvelle fois la tête de maure.
En 1735, les chefs révolutionnaires corses déclarent l'indépendance et placent la Corse sous la protection de la Sainte Vierge. L'immaculée conception devient jour de la fête nationale (le 8 décembre), et le drapeau corse est une image de l'immaculée conception sur fond blanc. Gênes réplique à cette déclaration en envoyant des troupes alliées en Corse pour réprimer la révolution. En 1736, la Corse toujours en quête d'indépendance se dote d'un monarque, Théodore de Neuhoff.
Ce baron d'origine allemande corsise ses armes en y ajoutant une tête de maure, qu'il a dû prendre sur l'atlas de son compatriote Seutter. La tête de maure porterait alors pour la première fois le bandeau sur le front et non sur les yeux (Cette théorie est controversée et certains pensent que c'est Paoli qui aurait relevé le bandeau sur le front en déclarant ' Désormais le bandeau royal est bien placé comme il faut et comme il convient à notre dignité et non pour notre honte, comme le voulaient nos ennemis). On peut affirmer que c'est bien au XVIIIe siècle que le bandeau est relevé sur le front et cela a été interprété par les historiens comme une manière pour la Corse d'ouvrir les yeux après plusieurs siècles d'obscurantisme et de domination génoise. Le royaume de Théodore 1er ne dure que 6 mois, mais les révoltes corses continuent.
En 1745, Ghjuvan Petru Gaffori est nommé général en chef de la nation corse, et lors d'un assaut de la citadelle de Corti, il brandit le drapeau à tête de maure. Pasquale de' Paoli sera nommé également général unique des Corses en 1755, deux ans après l'assassinat de Gaffori. C'est Pasquale de' Paoli, u babbu di a Patria qui officialise définitivement le drapeau blanc à tête de maure. Paoli propose d'enlever les boucles d'oreille et le collier qui figuraient sur les anciennes versions de la tête de maure, sans doute pour exprimer le fait que la Corse sort de l'esclavage pour devenir libre.
La cunsulta de Corti décide le 24 novembre 1762 de faire de la tête de maure le drapeau de la Corse. Cette tête de maure figurera désormais sur la monnaie corse. On la retrouve dans tous les actes administratifs. Le pavillon à tête de maure est également hissé sur les bateaux de la marine nationale corse. La tête de maure sur fond blanc (qui rappelle l'immaculée conception) est depuis l'emblème officiel de la Corse. Il sera confirmé en 1794, lors de l'époque de la seconde indépendance, lorsque les Corses se séparent de la France pour créer le royaume anglo-corse.
Aujourd'hui la tête de maure est reconnue de partout en Europe comme le symbole de la Corse et c'est d'ailleurs l'un des drapeaux européens les plus anciens.
Dr Ghjuvan Filippu Antolini
Sources :
Pierre Antonetti, Trois études sur Paoli, La marge Editions.
Ghjuvan Filippu Antolini, Les origines du drapeau corse, Primure, Editions d'Altri Orizonti, 1995.
Article ' Quelques idées sur l'origine du drapeau corse ' de Jérôme Potentini, février 1995, sur le site d'Academia Corsa (http://www.accademiacorsa.org/).
Lexilogos (http://www.lexilogos.com/corse_carte.htm).
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VERGOGNA A TÈ - CANTA U POPULU CORSU
vendre sa terre c'est perdre son âme et celles de ses enfants !!!
Picasa Albums Web - jean louis oustric
Picasa Albums Web - jean louis oustric: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
N'i a pro de la vergonha - Viva Occitània - Le blog de sempreprovenco.over-blog.com
N'i a pro de la vergonha - Viva Occitània - Le blog de sempreprovenco.over-blog.com: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
YouTube - N'i a pro de la vergonha - Viva Occitània
YouTube - N'i a pro de la vergonha - Viva Occitània: "cançon : Lou Seriol - Lo mes de mai
paraula :
Es aici lo mes de mai
que los galants planten lo mai
n'en plantarei un per ma mia
passaré mai que sa teulina
Quand de Marselha ieu vendrei
denant sa pòrta passarei
demandarei a sa vesina
coma se pòrta Catarina
Catarina se pòrta plan !
es maridada i a longtemp
a un borges de la campanha
que li fai plan faire la dama
E m'aviun dich pianta lo mai
que lo sio amor pasa ja mai !
e lhi porcons d'oste de Nòto
l'an pas laissat sença griòta.
Oi Catarina mas que as fach !?
Manco la porta aviu sarat !
Mi lo sai pas s'es de la campanha...
sai mac que tu sies pas una dama !
Ò es passat lo mes de mai
que los galants planten lo mai
Mi l'ai plantat per Catarina...
me sio trubat 'bo la visina !
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paraula :
Es aici lo mes de mai
que los galants planten lo mai
n'en plantarei un per ma mia
passaré mai que sa teulina
Quand de Marselha ieu vendrei
denant sa pòrta passarei
demandarei a sa vesina
coma se pòrta Catarina
Catarina se pòrta plan !
es maridada i a longtemp
a un borges de la campanha
que li fai plan faire la dama
E m'aviun dich pianta lo mai
que lo sio amor pasa ja mai !
e lhi porcons d'oste de Nòto
l'an pas laissat sença griòta.
Oi Catarina mas que as fach !?
Manco la porta aviu sarat !
Mi lo sai pas s'es de la campanha...
sai mac que tu sies pas una dama !
Ò es passat lo mes de mai
que los galants planten lo mai
Mi l'ai plantat per Catarina...
me sio trubat 'bo la visina !
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Tuesday, December 28, 2010
La Carmagnole de 1792
La Carmagnole de 1792: "C'est une chanson révolutionnaire anonyme et très populaire créée en 1792 quand l'Assemblée nationale vote la Convention et décrète l'arrestation du Roi.
Originaire du Piémont, ce chant gagne d’abord la région de Marseille, avant d’atteindre Paris. Elle se popularise ensuite dans toute la France après la chute du trône pour devenir un hymne des sans-culottes. Lors de ces épisodes révolutionnaires qui secouèrent le XIXe siècle français, elle réapparait en s'ornant de nouveaux couplets.
La Carmagnole, 1792
Paroles et Musique: du citoyen Birard
Extraits
Dansons la Carmagnole !
Vive le son, vive le son du canon.
Madam’ Veto avait promis (bis)
De faire égorger tout Paris (bis)
Mais son coup a manqué
Grâce à nos canonniers.
Refrain
Dansons la Carmagnole
Vive le son (bis)
Dansons la Carmagnole
Vive le son du canon !
Dansons la Carmagnole
Vive le son (bis)
Dansons la Carmagnole
Vive le son du canon !
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Originaire du Piémont, ce chant gagne d’abord la région de Marseille, avant d’atteindre Paris. Elle se popularise ensuite dans toute la France après la chute du trône pour devenir un hymne des sans-culottes. Lors de ces épisodes révolutionnaires qui secouèrent le XIXe siècle français, elle réapparait en s'ornant de nouveaux couplets.
La Carmagnole, 1792
Paroles et Musique: du citoyen Birard
Extraits
Dansons la Carmagnole !
Vive le son, vive le son du canon.
Madam’ Veto avait promis (bis)
De faire égorger tout Paris (bis)
Mais son coup a manqué
Grâce à nos canonniers.
Refrain
Dansons la Carmagnole
Vive le son (bis)
Dansons la Carmagnole
Vive le son du canon !
Dansons la Carmagnole
Vive le son (bis)
Dansons la Carmagnole
Vive le son du canon !
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chansons à écouter
chansons à écouter: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
ZIC TRAD_Cours_Analyse_Frédéric Mistral et la Musique
ZIC TRAD_Cours_Analyse_Frédéric Mistral et la Musique: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Boycottons les vœux du Président des Riches. - che64 sur LePost.fr
Boycottons les vœux du Président des Riches. - che64 sur LePost.fr: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Monday, December 27, 2010
Corse: l'investigateur s'enlise - Amnistia.net news
Corse: l'investigateur s'enlise - Amnistia.net news: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Corsica-Etre corse, esse Corsu
Être corse, c'est quoi ???
Chì vole dì esse Corsu ??
Vergon'à tè, o Corsu, chì ti ne vendi a tarra ò a casa di i to' antenati !!
Honte à toi, o corse, qui vend la terre ou la maison de tes ancêtres !!
Sott'a lu ponte.wmv
Sous le pont
brille la lune
Les étoiles dans le ciel,
Il n'en manque aucune
Dors
Dans les chataîgniers
Le vent se plaint
Notre lumière
Sera vite éteinte
Dors
Il y a plusieurs mois
Que nous sommes seuls
La guerre prend
Les pères aux enfants
Dors
Mon coeur souffre
Je n'en peux plus
Laisse -moi pleurer
Ce soir mais toi
Dors...
Profession: dénicheur de langues rares - Libération
Profession: dénicheur de langues rares - Libération: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
YouTube - Chaîne de muflone1963
YouTube - Chaîne de muflone1963: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
"T'es prof de quoi ?" - LeMonde.fr
"T'es prof de quoi ?" - LeMonde.fr: "T'es prof de quoi ?'
par ccileParis19, Enseignant à paris 19ème.
04.12.10
Cette semaine,
— Lundi :
Un élève refuse de me donner sa fiche de suivi. Il s'est tellement mal tenu qu'il ne veut pas que je la remplisse... Il s'est montré odieux pendant une heure. Il sort de ma classe en courant et en me tutoyant.
Je me rends compte qu'ont disparu de ma salle une séquence entière, 10 ans de travail dans une pochette, des documents importants, d'anciens exposés d'élèves... et une pochette de polycopiés qui étaient placés sous le bureau...
Dans les couloirs, la tension monte. Les élèves se mettent à détaler à toute vitesse par groupe de 8 ou 10. Pas d'autre chose à faire que de se ranger sur le côté pour éviter d'être percutée. Pendant les heures de cours, ils sont 6 ou 7 à faire des allers retours dans le couloir du 1er. Ils crient, se battent, mettent des coups dans les portes, se moquent de ceux qui sont en classe... Ils se sont « échappés » de la perm.
— Mardi :
J'apprends qu'une collègue s'est fait griffer au cou par une élève. Je suis abasourdie. Un peu effrayée aussi. Mais pas de conseil de discipline prévu, l'élève ne va pas bien ! Et la collègue ?
L'après-midi est tendu au 1er étage. Je fais cours porte ouverte, comme d'habitude. Mais à présent, les élèves qui « zonent » dans le couloir pénètrent dans ma salle, m'interpellent, interpellent mes élèves de 5e : « Ouesch, t'es prof de quoi ? Et les bouffons ! Regardez y travaillent... ». Au bout d'1/2 heure, je décide de fermer ma porte. On me l'ouvrira 9 fois dans la 2e 1/2 heure...
Dans la salle à côté, une élève de 12 ans répond à son professeur d'Histoire « Tu m'saoules, ta gueule ! »... Elle sera renvoyée une journée.
— Mercredi :
Je tente de vider les couloirs à 10 h 20. Je fais le deuil de ma pause et de mon café. Plus facile quand on sait que deux heures plus tard, c'est la quille... Je parviens à sortir une bonne vingtaine d'élèves. Et trois minutes plus tard, je les vois entrer à nouveau dans le hall... On leur a dit qu'il pouvait. Il fait trop froid dehors... Je suis énervée, totalement abattue...
— Vendredi :
Je me rends compte qu'on m'a aussi volé 2 manuels dans ma salle. Je m'en veux de ne pas avoir vidé mon bureau. J'en veux à ces 3 armoires fermées à clé au fond de la salle 116. Je n'ai pas une seule des clés qui ouvrent ces armoires... Elles me narguent. Pourtant en début d'année, je suis allée deux fois demander une clé à l'intendance. Personne ne sait où elles sont...
Je suis déçue et consciente du message des élèves : toi, t'as pris trop la confiance en laissant tes affaires, ici, on est chez nous... J'ai l'impression que cette semaine, on m'a envoyé un message clair...
Je vois 2 de mes élèves de 6e se faire rouer de coups par des 4es. Un nouveau jeu ? Ça m'inquiète. Mais je continue à tenter de vider le couloir : une bande de nanas écoute de la musique en dansant. Si. Si. Une bande de types tient le radiateur. Ils font semblant de ne pas m'entendre quand je leur demande avec un grand sourire d'aller se ranger dans la cour. Heureusement, parmi eux un des 3es dont je suis prof principal. Je lui demande de sortir et au passage d'emmener ses copains avec lui. Et puis, j'apprends qu'il y a eu un souci dans cette classe de 3e. Des élèves ont été convoqués à la vie scolaire la veille. Mais je l'apprends par une collègue et par les élèves eux-mêmes. Je me sens seule. Sans le rapport de mon collègue dans le casier, je n'aurai pas pu réagir. Drôle d'ambiance, on n'a plus vraiment l'impression d'être dans un collège. La veille, devant l'établissement, un élève a tenté une intimidation sur une prof pour éviter un rapport... Il sera renvoyé une journée.
— Vendredi soir
Je craque un peu ce soir. Je fonds en larmes en préparant le biberon de mon fils.
J'ai bientôt 40 ans. 15 ans d'ancienneté. Je suis passée par Clichy sous Bois, la cité Michelet... J'aime mon boulot. À 36 ans, j'ai obtenu la hors classe. Et j'en suis encore là. Je ne suis plus dans un établissement classé ZEP. Après la zone sensible, la zone prévention violence, je pensais qu'un collège non classé, c'était un peu ma récompense à moi...
La violence ordinaire de ce bahut semble être acceptée, banalisée ? Les gens font-ils semblant d'aller bien ? À quel moment prend-on en compte la sécurité des élèves ? Et la nôtre ?
Alors ce soir, je décide de ne plus tenter de vider les couloirs seule.
Je décide de ranger mes affaires, enfin ce qu'il en reste, ailleurs.
Je vais tenir jusqu'aux vacances en espérant trouver des solutions pour garder la tête froide et continuer d'être choquée par ce qui est choquant, abattue par ce qui est inacceptable. Je ne veux pas banaliser la violence. Je ne veux pas me montrer moins exigeante avec mes élèves. J'aimerais continuer à garder une vision raisonnable des choses et des êtres. Et ce soir, je suis usée par une semaine banale finalement. Et je me demande si deux jours suffiront à me remettre d'aplomb.
Cécile
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par ccileParis19, Enseignant à paris 19ème.
04.12.10
Cette semaine,
— Lundi :
Un élève refuse de me donner sa fiche de suivi. Il s'est tellement mal tenu qu'il ne veut pas que je la remplisse... Il s'est montré odieux pendant une heure. Il sort de ma classe en courant et en me tutoyant.
Je me rends compte qu'ont disparu de ma salle une séquence entière, 10 ans de travail dans une pochette, des documents importants, d'anciens exposés d'élèves... et une pochette de polycopiés qui étaient placés sous le bureau...
Dans les couloirs, la tension monte. Les élèves se mettent à détaler à toute vitesse par groupe de 8 ou 10. Pas d'autre chose à faire que de se ranger sur le côté pour éviter d'être percutée. Pendant les heures de cours, ils sont 6 ou 7 à faire des allers retours dans le couloir du 1er. Ils crient, se battent, mettent des coups dans les portes, se moquent de ceux qui sont en classe... Ils se sont « échappés » de la perm.
— Mardi :
J'apprends qu'une collègue s'est fait griffer au cou par une élève. Je suis abasourdie. Un peu effrayée aussi. Mais pas de conseil de discipline prévu, l'élève ne va pas bien ! Et la collègue ?
L'après-midi est tendu au 1er étage. Je fais cours porte ouverte, comme d'habitude. Mais à présent, les élèves qui « zonent » dans le couloir pénètrent dans ma salle, m'interpellent, interpellent mes élèves de 5e : « Ouesch, t'es prof de quoi ? Et les bouffons ! Regardez y travaillent... ». Au bout d'1/2 heure, je décide de fermer ma porte. On me l'ouvrira 9 fois dans la 2e 1/2 heure...
Dans la salle à côté, une élève de 12 ans répond à son professeur d'Histoire « Tu m'saoules, ta gueule ! »... Elle sera renvoyée une journée.
— Mercredi :
Je tente de vider les couloirs à 10 h 20. Je fais le deuil de ma pause et de mon café. Plus facile quand on sait que deux heures plus tard, c'est la quille... Je parviens à sortir une bonne vingtaine d'élèves. Et trois minutes plus tard, je les vois entrer à nouveau dans le hall... On leur a dit qu'il pouvait. Il fait trop froid dehors... Je suis énervée, totalement abattue...
— Vendredi :
Je me rends compte qu'on m'a aussi volé 2 manuels dans ma salle. Je m'en veux de ne pas avoir vidé mon bureau. J'en veux à ces 3 armoires fermées à clé au fond de la salle 116. Je n'ai pas une seule des clés qui ouvrent ces armoires... Elles me narguent. Pourtant en début d'année, je suis allée deux fois demander une clé à l'intendance. Personne ne sait où elles sont...
Je suis déçue et consciente du message des élèves : toi, t'as pris trop la confiance en laissant tes affaires, ici, on est chez nous... J'ai l'impression que cette semaine, on m'a envoyé un message clair...
Je vois 2 de mes élèves de 6e se faire rouer de coups par des 4es. Un nouveau jeu ? Ça m'inquiète. Mais je continue à tenter de vider le couloir : une bande de nanas écoute de la musique en dansant. Si. Si. Une bande de types tient le radiateur. Ils font semblant de ne pas m'entendre quand je leur demande avec un grand sourire d'aller se ranger dans la cour. Heureusement, parmi eux un des 3es dont je suis prof principal. Je lui demande de sortir et au passage d'emmener ses copains avec lui. Et puis, j'apprends qu'il y a eu un souci dans cette classe de 3e. Des élèves ont été convoqués à la vie scolaire la veille. Mais je l'apprends par une collègue et par les élèves eux-mêmes. Je me sens seule. Sans le rapport de mon collègue dans le casier, je n'aurai pas pu réagir. Drôle d'ambiance, on n'a plus vraiment l'impression d'être dans un collège. La veille, devant l'établissement, un élève a tenté une intimidation sur une prof pour éviter un rapport... Il sera renvoyé une journée.
— Vendredi soir
Je craque un peu ce soir. Je fonds en larmes en préparant le biberon de mon fils.
J'ai bientôt 40 ans. 15 ans d'ancienneté. Je suis passée par Clichy sous Bois, la cité Michelet... J'aime mon boulot. À 36 ans, j'ai obtenu la hors classe. Et j'en suis encore là. Je ne suis plus dans un établissement classé ZEP. Après la zone sensible, la zone prévention violence, je pensais qu'un collège non classé, c'était un peu ma récompense à moi...
La violence ordinaire de ce bahut semble être acceptée, banalisée ? Les gens font-ils semblant d'aller bien ? À quel moment prend-on en compte la sécurité des élèves ? Et la nôtre ?
Alors ce soir, je décide de ne plus tenter de vider les couloirs seule.
Je décide de ranger mes affaires, enfin ce qu'il en reste, ailleurs.
Je vais tenir jusqu'aux vacances en espérant trouver des solutions pour garder la tête froide et continuer d'être choquée par ce qui est choquant, abattue par ce qui est inacceptable. Je ne veux pas banaliser la violence. Je ne veux pas me montrer moins exigeante avec mes élèves. J'aimerais continuer à garder une vision raisonnable des choses et des êtres. Et ce soir, je suis usée par une semaine banale finalement. Et je me demande si deux jours suffiront à me remettre d'aplomb.
Cécile
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Dailymotion - Svegliu d isula-Cusi un sconniu - une vidéo Musique
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Sunday, December 26, 2010
ANTONINI
ANTONINI: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Saturday, December 25, 2010
Canta u Populu Corsu - Sintineddi
Des Statues de pierres ,mais pour moi Des Hommes Debout qui défendent l' Ile Mysterieuse et Fière !!! té Salute Corsica !!!
- catena, pense a té , Corsica ! viva la liberta !
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Carcassonne, Avignon… La chasse aux chrétiens a commencé en France, et l’évêque de l’Aude accuse les « penseurs » laïques ! - Riposte Laique
Carcassonne, Avignon… La chasse aux chrétiens a commencé en France, et l’évêque de l’Aude accuse les « penseurs » laïques ! - Riposte Laique: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Comté de Provence - Wikipédia
Comté de Provence - Wikipédia: "Comté de Provence
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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Le Comté de Provence est un ancien fief féodal situé à l'est du delta du Rhône. Il ne doit pas être confondu avec le marquisat ou le Duché de Provence.
Histoire du comté de Provence[modifier]
Le comté de Provence fut un des grands fiefs du royaume rodolphien de Bourgogne. En 947, Boson d'Arles, comte d'Arles fut investi du comté de Provence. À sa mort, ses deux fils - Guilhem dit le Libérateur et Roubaud - se partagèrent en indivis le comté, indivision que maintinrent leurs descendants. La branche issue de Guilhem donnera celle des comtes de Provence, celle issue de Roubaud donnera, à partir de 1054 les comtes de Forcalquier et les marquis de Provence.
En 972, à la suite de l'enlèvement de Maïeul de Cluny, abbé de Cluny, Guillaume Ier et Roubaud, avec l'aide de seigneurs provençaux et du marquis de Turin, ont libéré la Provence des Sarrasins qui, depuis leur forteresse du Fraxinet, pillaient la région. Cette campagne militaire menée sans les troupes de Conrad III de Bourgogne, fut l'occasion d'une mise au pas de la Provence, de l'aristocratie locale, des communautés urbaines et paysannes qui avaient jusque là toujours refusé la mutation féodale et le pouvoir comtal. Elle permit à Guillaume d'obtenir la suzeraineté de fait de la Provence. Il distribua les terres reconquises à ses vassaux, arbitra les différends et créa ainsi la féodalité provençale. Nommé marquis en 975, Guillaume fait d'Arles sa capitale.
Rodolphe III de Bourgogne n'ayant pas de postérité, il a institué Conrad II le Salique, empereur romain germanique, pour héritier. A la mort de Rodolphe en 1032 le royaume de Bourgogne - et avec lui le royaume d'Arles dont le comté de Provence fait partie - est rattaché au Saint-Empire romain germanique.
En 1019, Emma, comtesse de Provence, se maria avec Guillaume Taillefer, comte de Toulouse, transmettant les droits de la lignée de Roubaud à la maison de Toulouse. Le titre de marquis de Provence passa définitivement à cette maison à compter de 1093. En 1112, Douce de Provence, héritière des droits de la ligne de Guilhem, épousa Raimond-Bérenger III, comte de Barcelone, qui devient Raimond-Bérenger Ier de Provence. Les maisons de Toulouse et de Barcelone entrèrent alors en conflit pour le marquisat. Un traité fut conclu, en 1125, entre Raymond-Bérenger et Alphonse-Jourdain de Toulouse : par celui-ci, le comté de Provence fut divisé en un marquisat au nord de la Durance - attribué aux Toulouse - et un comté au sud, attribué aux Barcelone. En 1193, Alphonse II de Provence épouse Gersande de Forcalquier, ce qui donne naissance au comté de Provence-Forcalquier.
En 1245, meurt Raymond-Bérenger V de Provence, dont les quatre filles sont mariées respectivement : Marguerite à Louis IX de France, Sance à Richard de Cornouailles, Éléonore à Henri III d'Angleterre et Béatrix à Charles Ier d'Anjou, frère de Saint-Louis. C'est cette dernière qui reçoit en héritage les comtés de Provence et de Forcalquier, les transmettant à la première maison capétienne d'Anjou. Accumulant les titres royaux (Naples-Sicile, Jérusalem, Chypre, Acre, Thessalonique, etc.), les comtes se font appeler roi.
En 1382, à la mort de la reine Jeanne, s'achève la première maison capétienne d'Anjou. Elle adopta Louis Ier d'Anjou, fils du roi de France Jean II le Bon, fondant ainsi la seconde maison capétienne d'Anjou-Provence. La capture et la mort de la reine Jeanne provoquèrent une période de troubles opposant les partisans de la seconde maison d'Anjou-Provence aux partisans de Charles de Durazzo, issu de la première maison d'Anjou-Provence, dont les partisans formèrent l'Union d'Aix (1382-1387). La défaite, surtout politique, de Charles de Durazzo assit définitivement la seconde dynastie d'Anjou sur le comté de Provence (1387). La Provence orientale (à l'est du Var lui étant seule restée fidèle, Charles ne put lui venir en aide et lui permit de se donner au seigneur qu'elle se choisirait, pourvu qu'il ne s'agirait pas d'un adversaire. Ceci entraîna, en 1388, la séparation de la viguerie de Nice (ville de Nice, cité de Puget-Théniers et les vallées de la Tinée et de la Vésubie) qui choisirent la dédition de Nice à la Savoie), se constituant en Terres neuves de Provence.
La seconde maison capétienne d'Anjou-Provence donnera, notamment, le célèbre Bon Roi René. Charles III du Maine légua la Provence, à sa mort en 1481, au roi de France Louis XI. Ceci marquera à la fois la fin de la deuxième dynastie capétienne de Provence et la fin de l'autonomie de la Provence. Cette dernière fut rattachée au domaine royal en 1487.
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Le Comté de Provence est un ancien fief féodal situé à l'est du delta du Rhône. Il ne doit pas être confondu avec le marquisat ou le Duché de Provence.
Histoire du comté de Provence[modifier]
Le comté de Provence fut un des grands fiefs du royaume rodolphien de Bourgogne. En 947, Boson d'Arles, comte d'Arles fut investi du comté de Provence. À sa mort, ses deux fils - Guilhem dit le Libérateur et Roubaud - se partagèrent en indivis le comté, indivision que maintinrent leurs descendants. La branche issue de Guilhem donnera celle des comtes de Provence, celle issue de Roubaud donnera, à partir de 1054 les comtes de Forcalquier et les marquis de Provence.
En 972, à la suite de l'enlèvement de Maïeul de Cluny, abbé de Cluny, Guillaume Ier et Roubaud, avec l'aide de seigneurs provençaux et du marquis de Turin, ont libéré la Provence des Sarrasins qui, depuis leur forteresse du Fraxinet, pillaient la région. Cette campagne militaire menée sans les troupes de Conrad III de Bourgogne, fut l'occasion d'une mise au pas de la Provence, de l'aristocratie locale, des communautés urbaines et paysannes qui avaient jusque là toujours refusé la mutation féodale et le pouvoir comtal. Elle permit à Guillaume d'obtenir la suzeraineté de fait de la Provence. Il distribua les terres reconquises à ses vassaux, arbitra les différends et créa ainsi la féodalité provençale. Nommé marquis en 975, Guillaume fait d'Arles sa capitale.
Rodolphe III de Bourgogne n'ayant pas de postérité, il a institué Conrad II le Salique, empereur romain germanique, pour héritier. A la mort de Rodolphe en 1032 le royaume de Bourgogne - et avec lui le royaume d'Arles dont le comté de Provence fait partie - est rattaché au Saint-Empire romain germanique.
En 1019, Emma, comtesse de Provence, se maria avec Guillaume Taillefer, comte de Toulouse, transmettant les droits de la lignée de Roubaud à la maison de Toulouse. Le titre de marquis de Provence passa définitivement à cette maison à compter de 1093. En 1112, Douce de Provence, héritière des droits de la ligne de Guilhem, épousa Raimond-Bérenger III, comte de Barcelone, qui devient Raimond-Bérenger Ier de Provence. Les maisons de Toulouse et de Barcelone entrèrent alors en conflit pour le marquisat. Un traité fut conclu, en 1125, entre Raymond-Bérenger et Alphonse-Jourdain de Toulouse : par celui-ci, le comté de Provence fut divisé en un marquisat au nord de la Durance - attribué aux Toulouse - et un comté au sud, attribué aux Barcelone. En 1193, Alphonse II de Provence épouse Gersande de Forcalquier, ce qui donne naissance au comté de Provence-Forcalquier.
En 1245, meurt Raymond-Bérenger V de Provence, dont les quatre filles sont mariées respectivement : Marguerite à Louis IX de France, Sance à Richard de Cornouailles, Éléonore à Henri III d'Angleterre et Béatrix à Charles Ier d'Anjou, frère de Saint-Louis. C'est cette dernière qui reçoit en héritage les comtés de Provence et de Forcalquier, les transmettant à la première maison capétienne d'Anjou. Accumulant les titres royaux (Naples-Sicile, Jérusalem, Chypre, Acre, Thessalonique, etc.), les comtes se font appeler roi.
En 1382, à la mort de la reine Jeanne, s'achève la première maison capétienne d'Anjou. Elle adopta Louis Ier d'Anjou, fils du roi de France Jean II le Bon, fondant ainsi la seconde maison capétienne d'Anjou-Provence. La capture et la mort de la reine Jeanne provoquèrent une période de troubles opposant les partisans de la seconde maison d'Anjou-Provence aux partisans de Charles de Durazzo, issu de la première maison d'Anjou-Provence, dont les partisans formèrent l'Union d'Aix (1382-1387). La défaite, surtout politique, de Charles de Durazzo assit définitivement la seconde dynastie d'Anjou sur le comté de Provence (1387). La Provence orientale (à l'est du Var lui étant seule restée fidèle, Charles ne put lui venir en aide et lui permit de se donner au seigneur qu'elle se choisirait, pourvu qu'il ne s'agirait pas d'un adversaire. Ceci entraîna, en 1388, la séparation de la viguerie de Nice (ville de Nice, cité de Puget-Théniers et les vallées de la Tinée et de la Vésubie) qui choisirent la dédition de Nice à la Savoie), se constituant en Terres neuves de Provence.
La seconde maison capétienne d'Anjou-Provence donnera, notamment, le célèbre Bon Roi René. Charles III du Maine légua la Provence, à sa mort en 1481, au roi de France Louis XI. Ceci marquera à la fois la fin de la deuxième dynastie capétienne de Provence et la fin de l'autonomie de la Provence. Cette dernière fut rattachée au domaine royal en 1487.
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histoire de la provence : définition de histoire de la provence et synonyme de histoire de la provence (français)
histoire de la provence : définition de histoire de la provence et synonyme de histoire de la provence (français): "La Provence divisée
Au commencement du XIIe siècle, la partie méridionale de la Provence est soumise à la souveraineté des comtes de Barcelone sous le règne de Pierre II d'Aragon puis Raymond-Bérenger V. La partie nord-ouest appelée Marquisat de Provence appartient aux comtes de Toulouse et la partie nord-est aux Comtes de Forcalquier.
Au Moyen-Âge, la région PACA actuelle est ainsi composée de plusieurs territoires plus ou moins autonomes: Comté et marquisat de Provence, Comté de Forcalquier, Comtat Venaissin, Principauté d'Orange et baillie d'Outre-Siagne (futur comté de Nice).
La Provence unifiée
À partir de 1245, à la faveur du mariage de Charles Ier d'Anjou, frère du roi de France Louis IX, avec Béatrix, l'héritière du Comté, la Provence est dirigée par la maison d'Anjou qui la gouvernera jusqu'au règne de Louis XI de France. Le Comté de Provence, le marquisat de Provence et le comté de Forcalquier sont unifiés.
La dédition du Comté de Nice
À la suite de la guerre dite de l'Union d'Aix, entre partisans de Louis d'Anjou et de Charles de Duras pour l'héritage de la reine Jeanne, le comté de Nice quitte administrativement la Provence en 1388 date de son rattachement au comté (puis duché) de Savoie, et constitue les Terres Neuves de Provence ; c'est la Dédition de Nice à la Savoie. Ce n'est qu'en 1860 que, suite à un plébiscite qui la rattache à la France, Nice se réunit à nouveau à la Provence après près de cinq siècle de schisme et de guerres.
La Provence devient française
Le roi René d'Anjou meurt le 10 juillet 1480, il avait déshérité son successeur naturel René II de Lorraine au profit de Charles V d'Anjou qui reçoit l’hommage de la Provence. Palamède de Forbin jouit de sa confiance et de son amitié et lui conseille puisqu’il n’a pas d'enfants de léguer son État à Louis XI et à ses successeurs. Charles meurt un an après. La Provence fut définitivement rattachée à la France en 1483.
1720-1722 : la grande peste, partie de Marseille, envahit la Provence et la dévaste ainsi que les États pontificaux (Comtat Venaissin)
Révolution française
Lors de la révolution française, la Provence est divisée en départements : Bouches-du-Rhône, Var et Basses-Alpes (futur département des Alpes-de-Hautes-Provence). Le 14 septembre 1791, Avignon et le Comtat Venaissin sont rattachés à la France. Le territoire est partagé entre Drôme et Bouches-du-Rhône et le 12 août 1793 le département de Vaucluse est créé.
Toujours en 1793, la Provence retrouve le comté de Nice et donne naissance au département des Alpes-Maritimes avant que celui-ci ne repasse sous le contrôle piémontais et sarde à la Restauration. En 1860, à la suite d'un plébiscite, le rattachement définitif du comté de Nice à la France ramène Nice à la Provence. Quelques territoires alpins du comté restent cependant italiens jusqu´en 1947 où un référendum demande leur rattachement à la France, mettant un terme à près de sept siècles de division de la Provence.
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Au commencement du XIIe siècle, la partie méridionale de la Provence est soumise à la souveraineté des comtes de Barcelone sous le règne de Pierre II d'Aragon puis Raymond-Bérenger V. La partie nord-ouest appelée Marquisat de Provence appartient aux comtes de Toulouse et la partie nord-est aux Comtes de Forcalquier.
Au Moyen-Âge, la région PACA actuelle est ainsi composée de plusieurs territoires plus ou moins autonomes: Comté et marquisat de Provence, Comté de Forcalquier, Comtat Venaissin, Principauté d'Orange et baillie d'Outre-Siagne (futur comté de Nice).
La Provence unifiée
À partir de 1245, à la faveur du mariage de Charles Ier d'Anjou, frère du roi de France Louis IX, avec Béatrix, l'héritière du Comté, la Provence est dirigée par la maison d'Anjou qui la gouvernera jusqu'au règne de Louis XI de France. Le Comté de Provence, le marquisat de Provence et le comté de Forcalquier sont unifiés.
La dédition du Comté de Nice
À la suite de la guerre dite de l'Union d'Aix, entre partisans de Louis d'Anjou et de Charles de Duras pour l'héritage de la reine Jeanne, le comté de Nice quitte administrativement la Provence en 1388 date de son rattachement au comté (puis duché) de Savoie, et constitue les Terres Neuves de Provence ; c'est la Dédition de Nice à la Savoie. Ce n'est qu'en 1860 que, suite à un plébiscite qui la rattache à la France, Nice se réunit à nouveau à la Provence après près de cinq siècle de schisme et de guerres.
La Provence devient française
Le roi René d'Anjou meurt le 10 juillet 1480, il avait déshérité son successeur naturel René II de Lorraine au profit de Charles V d'Anjou qui reçoit l’hommage de la Provence. Palamède de Forbin jouit de sa confiance et de son amitié et lui conseille puisqu’il n’a pas d'enfants de léguer son État à Louis XI et à ses successeurs. Charles meurt un an après. La Provence fut définitivement rattachée à la France en 1483.
1720-1722 : la grande peste, partie de Marseille, envahit la Provence et la dévaste ainsi que les États pontificaux (Comtat Venaissin)
Révolution française
Lors de la révolution française, la Provence est divisée en départements : Bouches-du-Rhône, Var et Basses-Alpes (futur département des Alpes-de-Hautes-Provence). Le 14 septembre 1791, Avignon et le Comtat Venaissin sont rattachés à la France. Le territoire est partagé entre Drôme et Bouches-du-Rhône et le 12 août 1793 le département de Vaucluse est créé.
Toujours en 1793, la Provence retrouve le comté de Nice et donne naissance au département des Alpes-Maritimes avant que celui-ci ne repasse sous le contrôle piémontais et sarde à la Restauration. En 1860, à la suite d'un plébiscite, le rattachement définitif du comté de Nice à la France ramène Nice à la Provence. Quelques territoires alpins du comté restent cependant italiens jusqu´en 1947 où un référendum demande leur rattachement à la France, mettant un terme à près de sept siècles de division de la Provence.
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Friday, December 24, 2010
TINO ROSSI CHANTE NOËL EN PROVENCE
Bon Et Joyeux Noel au monde entier ! Merry X'mas to the world ! Buon Natale a tutti ! Pace e salute !!
Tous les chemins mènent vers la sortie de l’euro
Tous les chemins mènent vers la sortie de l’euro: "Tous les chemins mènent vers la sortie de l’euro
Posted by: admin on Déc 23, 2010 Print PDF
Tagged in: sortie de la zone euro , Crise bancaire
* Deutsche Mark en 2011, salut ou choix pervers ?
A l'heure, où la presse commence à soulever le lièvre de l'iniquité du maintien de l'euro, la sortie de l'euro étant ouvertement débattue, je tiens à faire quelques remarques sur ce sujet. Au mieux, en posant quelques questions bien à propos :
Qui profite de l'euro et pourquoi la sortie de l'euro apportera un grand plongeon à l'économie française ? Quelle est notre situation ? Avons-nous un partenaire économiquement puissant pour éviter le désastre de la transition non-amortie ?
Techniquement, l'euro se survit à lui-même. D'où l'intérêt de l'inventaire des bénéficiaires et des choses qu'il fallait faire il y a deux ans déjà. L'euro était condamné à disparaître à partir de 2008, quand la crise financière a révélé ses faiblesses et son inadaptation structurelle au changement géopolitique du switch des centres de pouvoir économique USA – Asie.
… Les américains, les chinois et les allemands tirent seuls un bénéfice réel de l'adoption de l'euro.
Qui sont les bénéficiaires de l'euro ? Trois sont extraterritoriaux, un seul est européen. Les pays qui ont le plus bénéficié de l'euro ne sont pas européens : Les USA, la Chine et la Russie. Et pour cause, aucun de ces puissants ne souhaite la fin de la monnaie unique. Tous l'ont fait savoir dans leurs communiqués récents, y compris V. Poutine. Il doit y avoir quelques raisons à ces déclarations :
Clairement, le premier lésé sont les USA : Ils perdent un levier important de leur domination économique sur les vassaux européens. Le lésé N°2, les chinois, espéraient bien récupérer les colonies intactes soit après la chute économique des USA, soit après la victoire militaire sur les USA au Moyen Orient. Pour l'instant, ils craignent pour les réserves de change et dettes en euros. Les russes, eux, sentent venir une jungle monétaire qui portera préjudice à coup sûr à leur économie exportatrice des matières premières et de l'énergie. Leur souci immédiat rejoint celui des chinois.
Le seul pays européen à tirer le bénéfice de l'euro est l'Allemagne. Son puissant appareil industriel (…partiellement délocalisé dans les pays de l'Est, qu'ils tiennent sous leur botte…) profitait de la manne en monnaie unique. La position de l'Allemagne est menacée, car trois économies intermédiaires peuvent la concurrencer en cas de sortie de la monnaie unique : La France, l'Italie et le bloc scandinave. Angela Merkel a récemment annoncé son soutien« inconditionnel », à l'euro, c'est pour ces motifs. Néanmoins les allemands sont également réalistes et préparent la sortie en nouant une alliance exclusive avec les russes depuis des années.
… Du temps perdu depuis le krach des valeurs technologiques (2000), et surtout depuis 2008
La France, engluée dans l'euro qui lui permet le financement de son train de vie, trop éloigné des performances de son appareil économique s'est endormie sur les lauriers du crédit. Certes, une certaine génération des français s'est offerte une grasse retraite, mais c'était au détriment de l'investissement dans l'économie réelle. La sortie de l'euro nous mettra à mal devant nos premiers partenaires économiques, dont l'Allemagne. Les français sont fournisseurs de l'industrie allemande, qui doit répercuter les baisses des coûts pour renouer avec la compétitivité internationale. La Chine est un compétiteur sérieux pour les allemands, mais dans la durée, ils peuvent compter sur l'augmentation des coûts de transport et de production pour se refaire une santé régionale. La mauvaise posture issue de la dépendance sur la Chine, l'Allemagne et sur les capitaux anglo-saxons nous coûtera cher. Il est fort à parier, que l'abandon de l'euro agira en révélateur de ces faiblesses. La France est trop désindustrialisée pour renouer immédiatement avec les exportations et pouvoir importer les matières premières + énergie avec ses excédents. Nous avons devant nous au moins une décennie de transition, si nous décidons de réindustrialiser maintenant. Au lieu de cela, seulement quelques pôles de compétitivité, partiellement entre les mains des capitaux internationaux ont été formés. Or, depuis le krach des NTIC (2000), correspondant avec la mise en place de l'euro, il fallait déjà penser à la gestion de l'éclatement de l'ensemble européen en protégeant l'industrie. Nous avons perdu dix ans en tout, dont deux ans urgentissimes. Tout ce que les officiels ont trouvé, c'est engager l'Etat dans la faillite jusqu'au la récente mise au feu des fonds de retraite. Même les seuls bénéficiaires lambda de l'ultralibéralisme, se trouvent aujourd'hui exposés. La génération précédente leur a coupé tous les ponts lors des récentes ' réformes de retraites '. La situation est devenue ingérable. Personne ne peut plus sauver l'économie nationale dans un délai raisonnable, pas plus que l'euro. L'économie et la monnaie sont à reconstruire à partir de zéro. Il y a des fortes chances, que cette reconstruction sera des plus douloureuses.
… Pourquoi la transition tchécoslovaque n'aura pas lieu
Un débat vif a lieu à propos de la sortie de l'euro en prenant pour l'exemple le cas le plus récent : L'éclatement de la Tchécoslovaquie. Beaucoup oublient, que c'est un petit pays et que son changement monétaire avait des puissants sponsors étrangers : Les USA et l'Allemagne, qui amortissaient par des entrées des capitaux le choc économique et monétaire de la séparation en deux Etats . Par ailleurs, les deux nouveaux pays ont perdu leur souveraineté et se sont retrouvés aliénés économiquement par les capitaux étrangers qui payaient la scission. Nous n'avons pas de partenaire privilégié d'une telle puissance. Bien plus, avec l'éclatement de l'Euro-zone : L'Allemagne devient notre concurrent et n'a aucun intérêt à nous soutenir, elle s'est déjà mise en meilleure position pour profiter de la fin annoncée de la monnaie unique. La Chine a besoin de faire vivre l'euro au maximum pour convertir ses excédents commerciaux en actifs continentaux tangibles. La Russie a déjà un partenariat avec les allemands, la France s'est levée trop tard : Personne n'a cillé, quand Schröder passait de la fonction du chancelier à la chaise du Gazprom en 2005. C'était pourtant un signe ! Nous sommes lestés d'un allié encombrant, les USA, qui a besoin de nos ressources pour payes ses guerres insensées et qui n'a pas d'appareil industriel ni de ressources dignes de ce nom à mettre à notre disposition. De plus, nous sommes déjà en plein processus d'aliénation par la part décisive des capitaux étrangers dans nos entreprises les plus rentables. La planche à billets américaine et le retour des excédents commerciaux asiatiques ne font qu'aggraver la situation. Aujourd'hui, la France est seule dans une Europe en pleine décomposition, qui va bientôt retrouver ses rivalités anciennes. Nous ne tarderons pas à nous en apercevoir, la transition douce n'aura pas lieu.
… Un rappel historique et un livre
La chute de l'euro va révéler des réalités que personne ne veut voir, pour l'instant. La mort est la naissance d'une nouvelle monnaie sont des événements douloureux, l'histoire est là pour nous le rappeler. Dans le livre d'Adam Fergusson, relatant la mort des monnaies de l'empire austro-hongrois et du Deutschemark, vous pouvez trouver certains indices d'un tel processus. Finalement, reste l'espoir de pouvoir éviter le pire. Cependant, avec notre mode de gouvernance, on finit bien par se demander comment y parvenir.
24122010_WHENMONEYDIES
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Posted by: admin on Déc 23, 2010 Print PDF
Tagged in: sortie de la zone euro , Crise bancaire
* Deutsche Mark en 2011, salut ou choix pervers ?
A l'heure, où la presse commence à soulever le lièvre de l'iniquité du maintien de l'euro, la sortie de l'euro étant ouvertement débattue, je tiens à faire quelques remarques sur ce sujet. Au mieux, en posant quelques questions bien à propos :
Qui profite de l'euro et pourquoi la sortie de l'euro apportera un grand plongeon à l'économie française ? Quelle est notre situation ? Avons-nous un partenaire économiquement puissant pour éviter le désastre de la transition non-amortie ?
Techniquement, l'euro se survit à lui-même. D'où l'intérêt de l'inventaire des bénéficiaires et des choses qu'il fallait faire il y a deux ans déjà. L'euro était condamné à disparaître à partir de 2008, quand la crise financière a révélé ses faiblesses et son inadaptation structurelle au changement géopolitique du switch des centres de pouvoir économique USA – Asie.
… Les américains, les chinois et les allemands tirent seuls un bénéfice réel de l'adoption de l'euro.
Qui sont les bénéficiaires de l'euro ? Trois sont extraterritoriaux, un seul est européen. Les pays qui ont le plus bénéficié de l'euro ne sont pas européens : Les USA, la Chine et la Russie. Et pour cause, aucun de ces puissants ne souhaite la fin de la monnaie unique. Tous l'ont fait savoir dans leurs communiqués récents, y compris V. Poutine. Il doit y avoir quelques raisons à ces déclarations :
Clairement, le premier lésé sont les USA : Ils perdent un levier important de leur domination économique sur les vassaux européens. Le lésé N°2, les chinois, espéraient bien récupérer les colonies intactes soit après la chute économique des USA, soit après la victoire militaire sur les USA au Moyen Orient. Pour l'instant, ils craignent pour les réserves de change et dettes en euros. Les russes, eux, sentent venir une jungle monétaire qui portera préjudice à coup sûr à leur économie exportatrice des matières premières et de l'énergie. Leur souci immédiat rejoint celui des chinois.
Le seul pays européen à tirer le bénéfice de l'euro est l'Allemagne. Son puissant appareil industriel (…partiellement délocalisé dans les pays de l'Est, qu'ils tiennent sous leur botte…) profitait de la manne en monnaie unique. La position de l'Allemagne est menacée, car trois économies intermédiaires peuvent la concurrencer en cas de sortie de la monnaie unique : La France, l'Italie et le bloc scandinave. Angela Merkel a récemment annoncé son soutien« inconditionnel », à l'euro, c'est pour ces motifs. Néanmoins les allemands sont également réalistes et préparent la sortie en nouant une alliance exclusive avec les russes depuis des années.
… Du temps perdu depuis le krach des valeurs technologiques (2000), et surtout depuis 2008
La France, engluée dans l'euro qui lui permet le financement de son train de vie, trop éloigné des performances de son appareil économique s'est endormie sur les lauriers du crédit. Certes, une certaine génération des français s'est offerte une grasse retraite, mais c'était au détriment de l'investissement dans l'économie réelle. La sortie de l'euro nous mettra à mal devant nos premiers partenaires économiques, dont l'Allemagne. Les français sont fournisseurs de l'industrie allemande, qui doit répercuter les baisses des coûts pour renouer avec la compétitivité internationale. La Chine est un compétiteur sérieux pour les allemands, mais dans la durée, ils peuvent compter sur l'augmentation des coûts de transport et de production pour se refaire une santé régionale. La mauvaise posture issue de la dépendance sur la Chine, l'Allemagne et sur les capitaux anglo-saxons nous coûtera cher. Il est fort à parier, que l'abandon de l'euro agira en révélateur de ces faiblesses. La France est trop désindustrialisée pour renouer immédiatement avec les exportations et pouvoir importer les matières premières + énergie avec ses excédents. Nous avons devant nous au moins une décennie de transition, si nous décidons de réindustrialiser maintenant. Au lieu de cela, seulement quelques pôles de compétitivité, partiellement entre les mains des capitaux internationaux ont été formés. Or, depuis le krach des NTIC (2000), correspondant avec la mise en place de l'euro, il fallait déjà penser à la gestion de l'éclatement de l'ensemble européen en protégeant l'industrie. Nous avons perdu dix ans en tout, dont deux ans urgentissimes. Tout ce que les officiels ont trouvé, c'est engager l'Etat dans la faillite jusqu'au la récente mise au feu des fonds de retraite. Même les seuls bénéficiaires lambda de l'ultralibéralisme, se trouvent aujourd'hui exposés. La génération précédente leur a coupé tous les ponts lors des récentes ' réformes de retraites '. La situation est devenue ingérable. Personne ne peut plus sauver l'économie nationale dans un délai raisonnable, pas plus que l'euro. L'économie et la monnaie sont à reconstruire à partir de zéro. Il y a des fortes chances, que cette reconstruction sera des plus douloureuses.
… Pourquoi la transition tchécoslovaque n'aura pas lieu
Un débat vif a lieu à propos de la sortie de l'euro en prenant pour l'exemple le cas le plus récent : L'éclatement de la Tchécoslovaquie. Beaucoup oublient, que c'est un petit pays et que son changement monétaire avait des puissants sponsors étrangers : Les USA et l'Allemagne, qui amortissaient par des entrées des capitaux le choc économique et monétaire de la séparation en deux Etats . Par ailleurs, les deux nouveaux pays ont perdu leur souveraineté et se sont retrouvés aliénés économiquement par les capitaux étrangers qui payaient la scission. Nous n'avons pas de partenaire privilégié d'une telle puissance. Bien plus, avec l'éclatement de l'Euro-zone : L'Allemagne devient notre concurrent et n'a aucun intérêt à nous soutenir, elle s'est déjà mise en meilleure position pour profiter de la fin annoncée de la monnaie unique. La Chine a besoin de faire vivre l'euro au maximum pour convertir ses excédents commerciaux en actifs continentaux tangibles. La Russie a déjà un partenariat avec les allemands, la France s'est levée trop tard : Personne n'a cillé, quand Schröder passait de la fonction du chancelier à la chaise du Gazprom en 2005. C'était pourtant un signe ! Nous sommes lestés d'un allié encombrant, les USA, qui a besoin de nos ressources pour payes ses guerres insensées et qui n'a pas d'appareil industriel ni de ressources dignes de ce nom à mettre à notre disposition. De plus, nous sommes déjà en plein processus d'aliénation par la part décisive des capitaux étrangers dans nos entreprises les plus rentables. La planche à billets américaine et le retour des excédents commerciaux asiatiques ne font qu'aggraver la situation. Aujourd'hui, la France est seule dans une Europe en pleine décomposition, qui va bientôt retrouver ses rivalités anciennes. Nous ne tarderons pas à nous en apercevoir, la transition douce n'aura pas lieu.
… Un rappel historique et un livre
La chute de l'euro va révéler des réalités que personne ne veut voir, pour l'instant. La mort est la naissance d'une nouvelle monnaie sont des événements douloureux, l'histoire est là pour nous le rappeler. Dans le livre d'Adam Fergusson, relatant la mort des monnaies de l'empire austro-hongrois et du Deutschemark, vous pouvez trouver certains indices d'un tel processus. Finalement, reste l'espoir de pouvoir éviter le pire. Cependant, avec notre mode de gouvernance, on finit bien par se demander comment y parvenir.
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Le Figaro - International : «En Irak, nous ne célébrerons pas la messe de minuit»
Le Figaro - International : «En Irak, nous ne célébrerons pas la messe de minuit»: "En Irak, nous ne célébrerons pas la messe de minuit»
Mots clés : Église catholique, chrétiens, terrorisme, IRAQ, Mgr louis Sako
Par Jean-Marie Guénois
24/12/2010 | Mise à jour : 12:13 Réactions (35)
Mgr Louis Sako : «L'attentat de Bagdad était politisé, j'en suis persuadé. Il a été préparé avec soin.»
Mgr Louis Sako : «L'attentat de Bagdad était politisé, j'en suis persuadé. Il a été préparé avec soin.» Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro
INTERVIEW - L'archevêque chaldéen de Kirkouk, Mgr Louis Sako, décrit le traumatisme des chrétiens irakiens.
La communauté chrétienne en Irak a compté jusqu'à 1,5 million de membres. Elle est aujourd'hui forte de 850 000 personnes, sur 30 millions d'Irakiens environ. Mgr Louis Sako, archevêque chaldéen de Kirkouk (nord), était récemment de passage à Paris.
LE FIGARO. - Après l'attentat qui a fait 68 morts dans une église de Bagdad en octobre , comment abordez-vous les fêtes de Noël cette année en Irak ?
Mgr Louis SAKO. - C'est la première fois que les chrétiens se sentent découragés. L'atmosphère est celle d'un deuil. À Bagdad, le massacre a été très choquant pour les chrétiens, et pour tous les Irakiens qui ont réagi avec force contre cette attaque. À Kirkouk, nous ne célébrerons pas la messe de minuit. Ce sera la même chose à Bagdad et à Mossoul. On ne sait jamais. La police n'est pas professionnelle - et parfois infiltrée par les extrémistes. C'est ce qui est arrivé pour cet attentat : la veille, les barrières de sécurité avaient été déplacées ; le jour même, la police n'est pas venue… C'étaient là des signes. Il faut les voir. Nous n'avons pas le droit d'exposer la vie des fidèles au danger.
Peut-on parler d'un Noël de terreur ?
De peur, plutôt. Le mot de terreur est trop fort. La terreur, c'est quand tout est fini. Avec la peur, l'espoir subsiste. Tout n'est pas noir, il y a une petite lueur dans la nuit.
Le nouveau gouvernement pourra-t-il assurer votre sécurité ?
Malheureusement, dans le gouvernement ou au sein des partis politiques, chacun agit pour son intérêt. Après la chute du régime (de Saddam Hussein, NDLR), une mentalité horrible s'est créée entre les Irakiens chiites, sunnites, arabes, turkmènes, kurdes, assyro-chaldéens. Je ne dis pas que le régime précédent, séculier et dictatorial, valait mieux, mais je constate cette division profonde du pays. L'Irak est riche et chaque groupe veut en avoir le plus possible.
Comment expliquez-vous l'attentat de Bagdad ?
Cet attentat était politisé, j'en suis persuadé. Il a été préparé avec soin. Je ne dis pas que c'est nécessairement le gouvernement, mais il y a des forces et des groupes qui ont peut-être profité de cette période transitoire pour leur propre intérêt.
Vous n'évoquez pas la responsabilité des groupes religieux extrémistes ?
Concevoir les plans est une chose. Les exécuter en est une autre. Pour exécuter une attaque, on peut toujours trouver des gens. Soit des fondamentalistes, soit des voleurs, soit des criminels. Ce n'est pas toujours «la religion» qui les motive. Certes, les fondamentalistes pensent que tous ceux qui ne sont pas musulmans doivent soit se convertir à l'islam, soit être éliminés, tués ou chassés. Mais il ne faudrait pas oublier une chose : les Irakiens, après trente-cinq années d'État séculier, sont ouverts, par nature. Les musulmans y sont modérés. Ces mouvements fondamentalistes viennent de l'extérieur.
Cet attentat a tout de même été signé par al-Qaida ?
Je ne suis pas convaincu qu'il s'agisse d'al-Qaida. Où sont les preuves ?
Vous croyez à une machination politique ?
Je le pense, oui.
Dans quel but ? Les chrétiens ne gênent personne sur le plan politique…
Le conflit actuel a pour objet la lutte pour le pouvoir. Elle se déroule à la fois entre chiites et sunnites, et sur un plan ethnique. Les chrétiens ne sont pas au cœur de l'enjeu !
Alors pourquoi les attaquer ?
Le pays va vers la division. On ne sait pas où mettre les chrétiens, il faut les pousser ailleurs. On parle de la plaine de Ninive (à l'est du pays).
Quelles lignes de conduite donnez-vous aux fidèles ?
Il ne faut pas penser à la manière occidentale. Chez nous, les gens sont restés très attachés à leur foi chrétienne et à l'Église. Ils sont conscients qu'être témoin, c'est être martyr. Dans ces difficultés et même en cas de mort, je n'ai pas le droit de dire aux gens de partir ou de rester. Mais j'ai la responsabilité de leur dire quand il y a danger.
De quelle aide les chrétiens irakiens ont-ils besoin ?
Le plus important n'est pas la religion, qu'on soit chrétien ou pas chrétien ! Il faut défendre la vie, la protéger sans savoir si la personne est chrétienne ou musulmane. La communauté internationale doit protéger les droits de l'homme et œuvrer contre la violence des groupes fondamentalistes, mais sans faire la guerre.
Quel est votre message de Noël 2010 ?
Pour moi, ce Noël est très «faible». C'est un enfant qui n'a pas de forces. Et je pense à cet enfant de la cathédrale de Bagdad qui s'appelle Adam. Face à la mort de son père, il a crié : «Cessez» ! Il avait 3 ans et demi, ils lui ont tiré dessus, ils l'ont tué… Cet enfant que nous contemplons à Noël va devenir adulte pour défendre les autres.
(avec Élisabeth Caillemer du Ferrage)
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Mots clés : Église catholique, chrétiens, terrorisme, IRAQ, Mgr louis Sako
Par Jean-Marie Guénois
24/12/2010 | Mise à jour : 12:13 Réactions (35)
Mgr Louis Sako : «L'attentat de Bagdad était politisé, j'en suis persuadé. Il a été préparé avec soin.»
Mgr Louis Sako : «L'attentat de Bagdad était politisé, j'en suis persuadé. Il a été préparé avec soin.» Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro
INTERVIEW - L'archevêque chaldéen de Kirkouk, Mgr Louis Sako, décrit le traumatisme des chrétiens irakiens.
La communauté chrétienne en Irak a compté jusqu'à 1,5 million de membres. Elle est aujourd'hui forte de 850 000 personnes, sur 30 millions d'Irakiens environ. Mgr Louis Sako, archevêque chaldéen de Kirkouk (nord), était récemment de passage à Paris.
LE FIGARO. - Après l'attentat qui a fait 68 morts dans une église de Bagdad en octobre , comment abordez-vous les fêtes de Noël cette année en Irak ?
Mgr Louis SAKO. - C'est la première fois que les chrétiens se sentent découragés. L'atmosphère est celle d'un deuil. À Bagdad, le massacre a été très choquant pour les chrétiens, et pour tous les Irakiens qui ont réagi avec force contre cette attaque. À Kirkouk, nous ne célébrerons pas la messe de minuit. Ce sera la même chose à Bagdad et à Mossoul. On ne sait jamais. La police n'est pas professionnelle - et parfois infiltrée par les extrémistes. C'est ce qui est arrivé pour cet attentat : la veille, les barrières de sécurité avaient été déplacées ; le jour même, la police n'est pas venue… C'étaient là des signes. Il faut les voir. Nous n'avons pas le droit d'exposer la vie des fidèles au danger.
Peut-on parler d'un Noël de terreur ?
De peur, plutôt. Le mot de terreur est trop fort. La terreur, c'est quand tout est fini. Avec la peur, l'espoir subsiste. Tout n'est pas noir, il y a une petite lueur dans la nuit.
Le nouveau gouvernement pourra-t-il assurer votre sécurité ?
Malheureusement, dans le gouvernement ou au sein des partis politiques, chacun agit pour son intérêt. Après la chute du régime (de Saddam Hussein, NDLR), une mentalité horrible s'est créée entre les Irakiens chiites, sunnites, arabes, turkmènes, kurdes, assyro-chaldéens. Je ne dis pas que le régime précédent, séculier et dictatorial, valait mieux, mais je constate cette division profonde du pays. L'Irak est riche et chaque groupe veut en avoir le plus possible.
Comment expliquez-vous l'attentat de Bagdad ?
Cet attentat était politisé, j'en suis persuadé. Il a été préparé avec soin. Je ne dis pas que c'est nécessairement le gouvernement, mais il y a des forces et des groupes qui ont peut-être profité de cette période transitoire pour leur propre intérêt.
Vous n'évoquez pas la responsabilité des groupes religieux extrémistes ?
Concevoir les plans est une chose. Les exécuter en est une autre. Pour exécuter une attaque, on peut toujours trouver des gens. Soit des fondamentalistes, soit des voleurs, soit des criminels. Ce n'est pas toujours «la religion» qui les motive. Certes, les fondamentalistes pensent que tous ceux qui ne sont pas musulmans doivent soit se convertir à l'islam, soit être éliminés, tués ou chassés. Mais il ne faudrait pas oublier une chose : les Irakiens, après trente-cinq années d'État séculier, sont ouverts, par nature. Les musulmans y sont modérés. Ces mouvements fondamentalistes viennent de l'extérieur.
Cet attentat a tout de même été signé par al-Qaida ?
Je ne suis pas convaincu qu'il s'agisse d'al-Qaida. Où sont les preuves ?
Vous croyez à une machination politique ?
Je le pense, oui.
Dans quel but ? Les chrétiens ne gênent personne sur le plan politique…
Le conflit actuel a pour objet la lutte pour le pouvoir. Elle se déroule à la fois entre chiites et sunnites, et sur un plan ethnique. Les chrétiens ne sont pas au cœur de l'enjeu !
Alors pourquoi les attaquer ?
Le pays va vers la division. On ne sait pas où mettre les chrétiens, il faut les pousser ailleurs. On parle de la plaine de Ninive (à l'est du pays).
Quelles lignes de conduite donnez-vous aux fidèles ?
Il ne faut pas penser à la manière occidentale. Chez nous, les gens sont restés très attachés à leur foi chrétienne et à l'Église. Ils sont conscients qu'être témoin, c'est être martyr. Dans ces difficultés et même en cas de mort, je n'ai pas le droit de dire aux gens de partir ou de rester. Mais j'ai la responsabilité de leur dire quand il y a danger.
De quelle aide les chrétiens irakiens ont-ils besoin ?
Le plus important n'est pas la religion, qu'on soit chrétien ou pas chrétien ! Il faut défendre la vie, la protéger sans savoir si la personne est chrétienne ou musulmane. La communauté internationale doit protéger les droits de l'homme et œuvrer contre la violence des groupes fondamentalistes, mais sans faire la guerre.
Quel est votre message de Noël 2010 ?
Pour moi, ce Noël est très «faible». C'est un enfant qui n'a pas de forces. Et je pense à cet enfant de la cathédrale de Bagdad qui s'appelle Adam. Face à la mort de son père, il a crié : «Cessez» ! Il avait 3 ans et demi, ils lui ont tiré dessus, ils l'ont tué… Cet enfant que nous contemplons à Noël va devenir adulte pour défendre les autres.
(avec Élisabeth Caillemer du Ferrage)
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Thursday, December 23, 2010
massilia - y'a des fois
Refrain : A chacun ses joies, a chacun ses douleurs, a chacun ses rires et a chacun ses pleurs
On est tous des rois mais on ne le sait pas, on est tous des élus mais on ne le sait plus
J'adore c'est trop....!
Wednesday, December 22, 2010
Pourquoi la Chine se met au chevet de l’Euro | France Soir
Pourquoi la Chine se met au chevet de l’Euro | France Soir: "Pourquoi la Chine se met au chevet de l’Euro
Ph. Dx 23/12/10 à 08h12
Pékin assure être disposé à apporter son aide à l’Union européenne au prise avec la crise de la monnaie unique. Non sans arrière-pensée.
Le salut de l'euro passera-t-il par la Chine ? Le salut de l'euro passera-t-il par la Chine ? © SIPA
L’Europe doit-elle compter sur la Chine pour sauver l’Euro ? Oui, la Chine a intérêt à la réussite de l’Euro et de l’Europe, dans la mesure où Pékin dispose de 2.650 milliards de dollars de réserve de change. De l’argent disponible pour être investi en obligations.
Pour financer leur déficit public, Washington ou les pays européens émettent des emprunts, des obligations à trois mois, à cinq ans ou dix ans. Si personne ne se présente pour acheter des titres, les Etats doivent payer un taux d’intérêt plus élevés pour attirer les investisseurs. Lassé d’être dépendant du dollar dont la valeur baissait, Pékin, qui possède 900 milliards de bonds du Trésor américain, a vu d’un bon œil l’arrivée de l’Euro fort…
Non. L’Europe ne peut compter sur la Chine que si elle offre une alternative au dollar. Pékin gère ses réserves comme tout bon capitaliste. Elle dispose de 2.650 milliards de dollars qu’elle veut faire fructifier. Les placer en obligations grecques, oui, mais pas à n’importe quel prix. L’Europe doit donc rassurer la Chine sur sa capacité à maintenir la valeur de l’Euro pour avoir sa confiance.
« Nous nous inquiétons beaucoup de la dette »
Et puis, dernier élément qui pèse dans la balance : l’UE est la première destination des exportations chinoises, tandis que dans l’autre sens la Chine est devenue le deuxième partenaire commercial de l’Union derrière les Etats-Unis.
Avant de savoir si Pékin volera au secours de l’Euro, il faut écouter ses officiels. A la manœuvre, le ministre chinois du Commerce, Chen Deming, qui mène actuellement des discussions bilatérales Chine-UE à Pékin. « Nous nous inquiétons beaucoup de savoir si la crise européenne de la dette peut être contrôlée. » Ou encore : « Nous voulons voir si l’UE est capable de maîtriser les risques concernant les dettes souveraines et si le consensus peut être traduit en véritable action pour permettre à l’Europe de sortir rapidement et en bonne forme de la crise », a ajouté le ministre chinois.
Quelques heures plus tôt, le vice-Premier ministre Wang Qishan avait déclaré que la Chine était prête à soutenir les mesures de l’UE et du FMI afin d’assurer la stabilité financière de l’Europe. Durant une visite au Portugal le mois dernier, le président chinois Hu Jintao avait assuré Lisbonne de la volonté d’aide chinoise, mais Pékin n’a pas encore fait de promesses fermes d’achat d’obligations d’Etat portugaises.
Ces déclarations doivent aussi être replacées dans leur contexte immédiat. L’Union européenne a envoyé des hauts responsables à Pékin pour parler de sujets qui fâchent les autorités chinoises. Au menu, il y avait les exportations de produits chinois à bas prix déferlant avec l’aide d’un yuan maintenu artificiellement bas, la protection de la propriété intellectuelle, et les « terres rares ». Indispensables pour l’industrie de haute technologie, elles sont à 97 % produites en Chine et leur exportation est extrêmement contingentée.
Autant de discussions désagréables pour le gouvernement chinois pas mécontent de rappeler à ses hôtes qu’ils ont un certain nombre de problèmes à régler avant de s’occuper de ce qui se passe en Chine.
*
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Ph. Dx 23/12/10 à 08h12
Pékin assure être disposé à apporter son aide à l’Union européenne au prise avec la crise de la monnaie unique. Non sans arrière-pensée.
Le salut de l'euro passera-t-il par la Chine ? Le salut de l'euro passera-t-il par la Chine ? © SIPA
L’Europe doit-elle compter sur la Chine pour sauver l’Euro ? Oui, la Chine a intérêt à la réussite de l’Euro et de l’Europe, dans la mesure où Pékin dispose de 2.650 milliards de dollars de réserve de change. De l’argent disponible pour être investi en obligations.
Pour financer leur déficit public, Washington ou les pays européens émettent des emprunts, des obligations à trois mois, à cinq ans ou dix ans. Si personne ne se présente pour acheter des titres, les Etats doivent payer un taux d’intérêt plus élevés pour attirer les investisseurs. Lassé d’être dépendant du dollar dont la valeur baissait, Pékin, qui possède 900 milliards de bonds du Trésor américain, a vu d’un bon œil l’arrivée de l’Euro fort…
Non. L’Europe ne peut compter sur la Chine que si elle offre une alternative au dollar. Pékin gère ses réserves comme tout bon capitaliste. Elle dispose de 2.650 milliards de dollars qu’elle veut faire fructifier. Les placer en obligations grecques, oui, mais pas à n’importe quel prix. L’Europe doit donc rassurer la Chine sur sa capacité à maintenir la valeur de l’Euro pour avoir sa confiance.
« Nous nous inquiétons beaucoup de la dette »
Et puis, dernier élément qui pèse dans la balance : l’UE est la première destination des exportations chinoises, tandis que dans l’autre sens la Chine est devenue le deuxième partenaire commercial de l’Union derrière les Etats-Unis.
Avant de savoir si Pékin volera au secours de l’Euro, il faut écouter ses officiels. A la manœuvre, le ministre chinois du Commerce, Chen Deming, qui mène actuellement des discussions bilatérales Chine-UE à Pékin. « Nous nous inquiétons beaucoup de savoir si la crise européenne de la dette peut être contrôlée. » Ou encore : « Nous voulons voir si l’UE est capable de maîtriser les risques concernant les dettes souveraines et si le consensus peut être traduit en véritable action pour permettre à l’Europe de sortir rapidement et en bonne forme de la crise », a ajouté le ministre chinois.
Quelques heures plus tôt, le vice-Premier ministre Wang Qishan avait déclaré que la Chine était prête à soutenir les mesures de l’UE et du FMI afin d’assurer la stabilité financière de l’Europe. Durant une visite au Portugal le mois dernier, le président chinois Hu Jintao avait assuré Lisbonne de la volonté d’aide chinoise, mais Pékin n’a pas encore fait de promesses fermes d’achat d’obligations d’Etat portugaises.
Ces déclarations doivent aussi être replacées dans leur contexte immédiat. L’Union européenne a envoyé des hauts responsables à Pékin pour parler de sujets qui fâchent les autorités chinoises. Au menu, il y avait les exportations de produits chinois à bas prix déferlant avec l’aide d’un yuan maintenu artificiellement bas, la protection de la propriété intellectuelle, et les « terres rares ». Indispensables pour l’industrie de haute technologie, elles sont à 97 % produites en Chine et leur exportation est extrêmement contingentée.
Autant de discussions désagréables pour le gouvernement chinois pas mécontent de rappeler à ses hôtes qu’ils ont un certain nombre de problèmes à régler avant de s’occuper de ce qui se passe en Chine.
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AFP: Un attentat fait des "dégâts considérables" contre un complexe touristique corse
AFP: Un attentat fait des "dégâts considérables" contre un complexe touristique corse: "Un attentat fait des 'dégâts considérables' contre un complexe touristique corse
(AFP) – Il y a 7 heures
BASTIA — Un attentat à l'explosif a provoqué mercredi soir des 'dégâts considérables' dans un important complexe touristique près du village de Castellare-di-Casinca (Haute-Corse), a déclaré le procureur de la République de Bastia, Dominique Alzeari.
'C'est l'un des plus graves attentats que l'on ait connu ces derniers temps', a dit M. Alzeari qui s'est rendu sur place.
Un commando de dix à quinze personnes encagoulées et armées, a-t-il indiqué, est arrivé entre 18H30 et 19H00 dans ce village de vacances en bord de mer pouvant accueillir un millier de personnes au lieu-dit l'Anghjone, à 30 km au sud de Bastia.
Le commando a neutralisé et mis en sécurité, sans les maltraiter, la douzaine de personnes qui se trouvaient sur place, des gardiens et quelques résidents permanents avant d'activer au moins deux charges explosives.
Le bâtiment des services d'accueil et la villa du directeur ont été détruits. Il n'y a pas eu de blessés et l'attentat n'a pas été revendiqué.
Un important dispositif de gendarmerie a été mis en place dans la soirée.
Le parquet de la section anti-terroriste de Paris a été saisi et l'enquête a été confiée à la direction régionale de la police judiciaire, à la section de recherche de la gendarmerie de Corse et à la sous-direction anti-terroriste, a indiqué M. Alzeari.
Une centaine de personnes dont des militants nationalistes, notamment plusieurs élus à l'Assemblée de Corse, avaient dénoncé sur place le 13 novembre une opération de spéculation immobilière réalisée par le groupe qui a acheté ce centre il y a trois ans.
Edifié dans les années 1960, le village, qui s'étend sur 22 hectares de pinède, comprend 233 bungalows, une centaine d'emplacements de camping et 95 'mobile homes'.
Un collectif de défense de l'environnement demande l'arrêt des ventes sur ce site touristique par le groupe spécialisé dans l'hébergement de loisirs, Proméo, qui a acheté le centre.
Proméo est accusé par ce collectif d'avoir acheté le site trois millions d'euros, d'y avoir effectué pour 1,5 million d'euros de travaux sommaires et de revendre l'ensemble le plus vite possible, en profitant de la loi de défiscalisation Bouvard, pour 33 millions d'euros.
Copyright © 2010 AFP. Tous droits réservés. Plus »
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* Un attentat fait des 'dégâts considérables' contre un complexe ...
AFP - Il y a 7 heures
* TERRORISME
Le Parisien (Abonnement) - Il y a 47 minutes
* Attentat contre un complexe touristique au sud de Bastia
nouvelobs.com - Il y a 7 heures
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(AFP) – Il y a 7 heures
BASTIA — Un attentat à l'explosif a provoqué mercredi soir des 'dégâts considérables' dans un important complexe touristique près du village de Castellare-di-Casinca (Haute-Corse), a déclaré le procureur de la République de Bastia, Dominique Alzeari.
'C'est l'un des plus graves attentats que l'on ait connu ces derniers temps', a dit M. Alzeari qui s'est rendu sur place.
Un commando de dix à quinze personnes encagoulées et armées, a-t-il indiqué, est arrivé entre 18H30 et 19H00 dans ce village de vacances en bord de mer pouvant accueillir un millier de personnes au lieu-dit l'Anghjone, à 30 km au sud de Bastia.
Le commando a neutralisé et mis en sécurité, sans les maltraiter, la douzaine de personnes qui se trouvaient sur place, des gardiens et quelques résidents permanents avant d'activer au moins deux charges explosives.
Le bâtiment des services d'accueil et la villa du directeur ont été détruits. Il n'y a pas eu de blessés et l'attentat n'a pas été revendiqué.
Un important dispositif de gendarmerie a été mis en place dans la soirée.
Le parquet de la section anti-terroriste de Paris a été saisi et l'enquête a été confiée à la direction régionale de la police judiciaire, à la section de recherche de la gendarmerie de Corse et à la sous-direction anti-terroriste, a indiqué M. Alzeari.
Une centaine de personnes dont des militants nationalistes, notamment plusieurs élus à l'Assemblée de Corse, avaient dénoncé sur place le 13 novembre une opération de spéculation immobilière réalisée par le groupe qui a acheté ce centre il y a trois ans.
Edifié dans les années 1960, le village, qui s'étend sur 22 hectares de pinède, comprend 233 bungalows, une centaine d'emplacements de camping et 95 'mobile homes'.
Un collectif de défense de l'environnement demande l'arrêt des ventes sur ce site touristique par le groupe spécialisé dans l'hébergement de loisirs, Proméo, qui a acheté le centre.
Proméo est accusé par ce collectif d'avoir acheté le site trois millions d'euros, d'y avoir effectué pour 1,5 million d'euros de travaux sommaires et de revendre l'ensemble le plus vite possible, en profitant de la loi de défiscalisation Bouvard, pour 33 millions d'euros.
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Carton plein sur les actifs japonais,sévère et juste analyse ! merci à l'auteur !
Carton plein sur les actifs japonais: "Carton plein sur les actifs japonais
Posted by: admin on Déc 22, 2010 Print PDF
Tagged in: Untagged
Avant de poster votre commentaire
Après avoir visionné un passage de Mark Faber sur une télévision asiatique, où icelui (C'est du Dard … c'est du Dard …) recommandait l'achat des actions japonaises, j'ai mis quelques minutes seulement à le mettre en rapport avec l'article du WSJ Asian Edition du 15/12/2010. WSJ parle d'acquisitions immobilières au Japon par les étrangers. Depuis peu, l'immobilier et les actions Japonaises passent de l'investissement moribond à la vedette des rendements asiatiques. Pourquoi ? Quelle est la situation récente dans l'immobilier et actions japonaises ?
Depuis vingt ans, les actifs nippons connaissent la baisse continuelle des prix, (… que je ne qualifierais en aucun cas de déflation !) due à l'alignement de la réalité économique sur l'appauvrissement de la société japonaise. La crise économique, le vieillissement et la position insulaire ont fait leur travail et baissé les prix des actifs.
Le retour de la revalorisation est là, car rien ne dure éternellement. Les voisins du Japon ont des économies exportatrices puissantes. Leur immobilier est survalorisé et en pleine bulle, leurs marchés des actions sont instables. La Chine, Taïwan, HK, Corée du Sud, Singapour : Tous sont en plein boom. Tous cherchent à placer les immenses masses de devises issues de la planche à billets de la FED et de la BCE. Sous leur nez, un seul marché présente des aspects un peu plus stables en 2010-2011 : Le Japon. La ruée des capitaux asiatiques vers le Japon reste impressionnante, surtout face au recul américain.
L'immobilier japonais se relève dans un mouvement fortement perfusé par les taux de crédit toujours très bas. Par ailleurs, en vedettes de l'investissement immobilier non-asiatique et asiatique l'on retrouve des banques comme Deutsche Bank et Morgan Stanley. Néanmoins, les chinois sont en passe de transformer le marché japonais en leur chasse gardée. Après la période de tensions politiques récentes, autour de la livraison des terres rares et des achats des bonds japonais par la Chine, la situation se stabilise et les japonais sont forcés d'accepter les capitaux chinois.
Voici un petit panel d'achats immobiliers au Japon, cuvée 2010 :
22122010_Japan_CHANGINGHANDS
22122010_JAPANLANDDEALS
L'immobilier japonais va retrouver ses couleurs en 2011, une hausse des prix est à atteindre. Il s'agit d'un retour de bulle, car les marchés sont en excès de liquidités issues des opérations de planche à billets des BCE occidentales qui permettent de payer les importations asiatiques avec la monnaie de singe. Allons voir le marché des actions japonaises, pour y vérifier la connexion bourse-immobilier.
22122010_JAPAN_NIKKEI
Pas de doute, le marché des actions a ressenti la vague des capitaux à partir de 2009. Là, c'est une tendance dominante de la plupart des grandes bourses, donc sans surprise. Seulement, les acheteurs étrangers ont aujourd'hui la main sur les variations (MFI) et se délestent de masses de monnaie imprimée contre les actifs japonais. La dépendance des entreprises nippones sur les importations chinoises étant désormais un secret de polichinelle, j'imagine seulement (sans preuves) à quelles razzias sur les equities japonaises se livrent actuellement les fonds chinois ! Cela vaut, à mon sens, pratiquement la capitulation du Japon, désormais en infériorité économique avérée.
Ne nous laissons pas impressionner, l'augmentation des prix ne provient pas d'un retour de la croissance. Le tableau final apparaît plutôt par la mise en relation avec d'autres informations de la sphère économique : Les prix des denrées alimentaires sont en augmentation. Les prix des matières premières sont en augmentation. Même, et c'est un fait nouveau, les prix de l'électronique d'équipement des ménages sont en augmentation. Les prix moyens d'un PC vendu au détail aux USA en Novembre 2010 ont grimpé de 6%, de 580 à 615 USD par rapport à la même période l'an dernier. Tous les effets néfastes du déversement de la monnaie submergent l'économie globalisée actuelle.
Les inflows récents des capitaux au Japon sont une preuve supplémentaire d'excès mondial de liquidités, que rien au monde ne peut éponger. En 2011, certainement, le marché japonais s'en tirera un peu mieux en soulageant les économies de ses voisins. Le retour de bulle au Japon en 2011 n'a rien à voir avec l'augmentation de la rentabilité des entreprises, qui n'est pas au rendez-vous. Les débordements monétaires de la monnaie de réserve mondiale ne peuvent être contenus indéfiniment par des petits marchés. Dans la durée, cela ne change rien sur le résultat final de la politique de la planche à billets combinée avec le déclin programmé de la Globalisation.
Sous ces signes de la dégénérescence systémique, ça sent le krach monétaire mondial à plein nez. La question est : Quand ?
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Après avoir visionné un passage de Mark Faber sur une télévision asiatique, où icelui (C'est du Dard … c'est du Dard …) recommandait l'achat des actions japonaises, j'ai mis quelques minutes seulement à le mettre en rapport avec l'article du WSJ Asian Edition du 15/12/2010. WSJ parle d'acquisitions immobilières au Japon par les étrangers. Depuis peu, l'immobilier et les actions Japonaises passent de l'investissement moribond à la vedette des rendements asiatiques. Pourquoi ? Quelle est la situation récente dans l'immobilier et actions japonaises ?
Depuis vingt ans, les actifs nippons connaissent la baisse continuelle des prix, (… que je ne qualifierais en aucun cas de déflation !) due à l'alignement de la réalité économique sur l'appauvrissement de la société japonaise. La crise économique, le vieillissement et la position insulaire ont fait leur travail et baissé les prix des actifs.
Le retour de la revalorisation est là, car rien ne dure éternellement. Les voisins du Japon ont des économies exportatrices puissantes. Leur immobilier est survalorisé et en pleine bulle, leurs marchés des actions sont instables. La Chine, Taïwan, HK, Corée du Sud, Singapour : Tous sont en plein boom. Tous cherchent à placer les immenses masses de devises issues de la planche à billets de la FED et de la BCE. Sous leur nez, un seul marché présente des aspects un peu plus stables en 2010-2011 : Le Japon. La ruée des capitaux asiatiques vers le Japon reste impressionnante, surtout face au recul américain.
L'immobilier japonais se relève dans un mouvement fortement perfusé par les taux de crédit toujours très bas. Par ailleurs, en vedettes de l'investissement immobilier non-asiatique et asiatique l'on retrouve des banques comme Deutsche Bank et Morgan Stanley. Néanmoins, les chinois sont en passe de transformer le marché japonais en leur chasse gardée. Après la période de tensions politiques récentes, autour de la livraison des terres rares et des achats des bonds japonais par la Chine, la situation se stabilise et les japonais sont forcés d'accepter les capitaux chinois.
Voici un petit panel d'achats immobiliers au Japon, cuvée 2010 :
22122010_Japan_CHANGINGHANDS
22122010_JAPANLANDDEALS
L'immobilier japonais va retrouver ses couleurs en 2011, une hausse des prix est à atteindre. Il s'agit d'un retour de bulle, car les marchés sont en excès de liquidités issues des opérations de planche à billets des BCE occidentales qui permettent de payer les importations asiatiques avec la monnaie de singe. Allons voir le marché des actions japonaises, pour y vérifier la connexion bourse-immobilier.
22122010_JAPAN_NIKKEI
Pas de doute, le marché des actions a ressenti la vague des capitaux à partir de 2009. Là, c'est une tendance dominante de la plupart des grandes bourses, donc sans surprise. Seulement, les acheteurs étrangers ont aujourd'hui la main sur les variations (MFI) et se délestent de masses de monnaie imprimée contre les actifs japonais. La dépendance des entreprises nippones sur les importations chinoises étant désormais un secret de polichinelle, j'imagine seulement (sans preuves) à quelles razzias sur les equities japonaises se livrent actuellement les fonds chinois ! Cela vaut, à mon sens, pratiquement la capitulation du Japon, désormais en infériorité économique avérée.
Ne nous laissons pas impressionner, l'augmentation des prix ne provient pas d'un retour de la croissance. Le tableau final apparaît plutôt par la mise en relation avec d'autres informations de la sphère économique : Les prix des denrées alimentaires sont en augmentation. Les prix des matières premières sont en augmentation. Même, et c'est un fait nouveau, les prix de l'électronique d'équipement des ménages sont en augmentation. Les prix moyens d'un PC vendu au détail aux USA en Novembre 2010 ont grimpé de 6%, de 580 à 615 USD par rapport à la même période l'an dernier. Tous les effets néfastes du déversement de la monnaie submergent l'économie globalisée actuelle.
Les inflows récents des capitaux au Japon sont une preuve supplémentaire d'excès mondial de liquidités, que rien au monde ne peut éponger. En 2011, certainement, le marché japonais s'en tirera un peu mieux en soulageant les économies de ses voisins. Le retour de bulle au Japon en 2011 n'a rien à voir avec l'augmentation de la rentabilité des entreprises, qui n'est pas au rendez-vous. Les débordements monétaires de la monnaie de réserve mondiale ne peuvent être contenus indéfiniment par des petits marchés. Dans la durée, cela ne change rien sur le résultat final de la politique de la planche à billets combinée avec le déclin programmé de la Globalisation.
Sous ces signes de la dégénérescence systémique, ça sent le krach monétaire mondial à plein nez. La question est : Quand ?
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Provence
Provence: "Le jour de Noël,
l'une des nappes est retirée pour orner la table du déjeuner. On place parfois un santon auprès de chaque convive, pour représenter son métier ou son expression. La seconde nappe est retirée le 26 décembre. Les trois soucoupes de blé qui ornaient la table calendale sont alors placées dans la crèche pour représenter les champs de blé, symbole de l'espérance.
Les 13 desserts
Ils évoquent Jésus et ses 12 apôtres lors de la Cène.
Chacun en Provence a sa liste des 13 desserts et toutes divergent sensiblement d'une ville à l'autre.
Si le nombre est impératif, le choix des desserts est assez libre dans la liste qui suit (et qui reste d'ailleurs ouverte) ; certains d’entre eux porteurs de symboles et ancrés dans la tradition.
Il y a tout d'abord les quatre mendiants (fruits secs) qui représentent, par leurs couleurs, les habits des moines appartenant aux ordres religieux 'mendiants' :
- les Figues sèches, pour les Franciscains
- les Amandes, pour les Carmélites
- les Noix ou Noisettes, pour les Augustins
- les Raisins secs, pour les Dominicains
Viennent ensuite les fruits, confits ou frais, spécialement conservés pour Noël :
- les Pommes,
- les Poires,
- les arbouses, ou les sorbes, ou encore les dattes
- le Melon de Noël (Verdau), pour la fraîcheur de l'esprit.
- le Raisin blanc (servant), pour la vitalité.
- lles mandarines et les oranges dont on fabrique avec les peaux des veilleuses que l’on place dans la crèche et qui dégagent une odeur agréable, emplie des souvenirs des Noël précédents pour la réussite des vœux émis dans le silence du cœur.
Enfin, les confiseries et pâtisseries
- les Nougats noirs et blancs pour l'humeur des jours.
- la Pâte de Coings, pour une année de richesses
- le 'Gibassié' ou pompe à l'huile d'olive, appelée fougasse à Arles (galette de farine cuite avec de l'huile d'olive et de la fleur d'oranger), gage de réussite. Selon la tradition, il faut rompre la pompe à huile comme le Christ a rompu le pain et ne pas la couper pour ne pas se retrouver ruiné l'année suivante.
- les Cédrats confits
- les Nougats blancs & nougats noirs
- les Calissons ou les biscotins d'Aix
Lorsque vous aurez dégusté, tour à tour, 12 desserts, vous pourrez, avec la première mandarine, faire votre vœu secret qui sera vraisemblablement exaucé dans l'année.
Les treize desserts sont tous présents sur une même table et sont accompagnés par du vin cuit.
Ils concluent le gros souper, en attendant de se rendre à la messe de minuit.
Pompe à huile
Pour 8 personnes :
- 500 g de farine
- 25 g de levure
- 75 g de sucre
- 150 g d huile d olive
- 1 orange
- 1 citron
- 10 g de sel
1/ Mélanger la levure, 200 g farine et un verre eau et laisser lever 45 minutes.
2/ Ajouter l'huile d'olive, la farine restante, les zeste de citron et d'orange, le sel et le sucre. Mélanger doucement et laisser lever 3 heures.
3/ Etaler la pâte en forme de galette (30 cm de diamètre environ) et laisser lever 1 heure. Cuire au four chaud (220°C) pendant 15 minutes. A la sortie du four, badigeonner d'huile d'olive.
Les brassadeaux ou gimbeleto, une patisserie très ancienne, les jeunes mariés devaient s'en mettre un autour du poignet et faire une danse... Frédéric Mistral a même fait un poème sur ce thème.
Ingrédients
1 kg de farine
6 oeufs
130 gr de beurre
1 sachet de levure de boulanger
300 gr de sucre
2 cuillères à soupe de fleur d'oranger
1 cuillère à soupe de rhum ( facultatif)
1 zeste d' orange non traitée
1zeste d' un citron non traité
1 pincée de sel
Préparation
Mettre la farine dans un saladier, y faire un puits en son milieu et y ajouter les oeufs, le sucre, le beurre que l'on aura fait fondre préalablement au micro-ondes, le sel, et les zestes de l'orange et du citron. Pétrir délicatement enfin d'obtenir une pâte homogène.
Préparer la levure en mettant le sachet dans un bol, y ajouter 2 cuillères à soupe de lait tiède et laisser reposer le tout sans mélanger pendant 15 minutes, après ce lap de temps, remuer et mettre dans le saladier.
Mettre le rhum si on le désire, puis les 2 cuillères à soupe de fleur d'oranger.
Travailler la pâte 5 minutes pour qu'elle s'assouplisse, la mettre en boule, la laisser reposer 3 heures dans un endroit tiède.
Couper cette pâte de la grosseur d'une orange, lui donner une forme de bracelet, ne pas oublier de souder avec de l'eau les deux extrémités.
Faire chauffer une marmite d'eau, lorsque celle-ci bout y jeter les brassadeaux, lorsqu'ils remontent ils sont cuits (c'est la première cuisson), les mettre à sécher sur un torchon propre pendant 4 heures.
Disposer ces anneaux sur une plaque beurrée et les enfourner 15 minutes à four chaud à 180° (c'est la deuxième cuisson), ils doivent avoir une belle couleur dorée, les laisser refroidir sur la grille.
Croquants marseillais
Pour 4 personnes :
- 2 cuillères à soupe de pastis
- 1 cuillère à soupe de café soluble
- 200 g de farine
- 110 g de sucre
- 1 oeuf et 1 blanc d oeuf
- 1 cuillère à café de bicarbonate
1/ Faire chauffer le pastis dans une petite casserole. Ajouter le café et remuer jusqu'à ce qu'il soit dissous. Retirer du feu.
2/ Mélanger la farine, le sucre et le bicarbonate dans un saladier. Ajouter le reste des ingrédients. Déposer la préparation sur une surface farinée et pétrir jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène.
3/ Façonner un pain de 18 cm de long et mettre à cuire 45 minutes à 180°C jusqu'à ce qu'il soit doré et croustillant. Laisser refroidir et découper en tranches de 1,5 cm d'épaisseur.
Si vous ne supportez pas l'alcool, vous pouvez remplacer le pastis par du sirop d'anis. Dans ce cas, sucrez moins.
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l'une des nappes est retirée pour orner la table du déjeuner. On place parfois un santon auprès de chaque convive, pour représenter son métier ou son expression. La seconde nappe est retirée le 26 décembre. Les trois soucoupes de blé qui ornaient la table calendale sont alors placées dans la crèche pour représenter les champs de blé, symbole de l'espérance.
Les 13 desserts
Ils évoquent Jésus et ses 12 apôtres lors de la Cène.
Chacun en Provence a sa liste des 13 desserts et toutes divergent sensiblement d'une ville à l'autre.
Si le nombre est impératif, le choix des desserts est assez libre dans la liste qui suit (et qui reste d'ailleurs ouverte) ; certains d’entre eux porteurs de symboles et ancrés dans la tradition.
Il y a tout d'abord les quatre mendiants (fruits secs) qui représentent, par leurs couleurs, les habits des moines appartenant aux ordres religieux 'mendiants' :
- les Figues sèches, pour les Franciscains
- les Amandes, pour les Carmélites
- les Noix ou Noisettes, pour les Augustins
- les Raisins secs, pour les Dominicains
Viennent ensuite les fruits, confits ou frais, spécialement conservés pour Noël :
- les Pommes,
- les Poires,
- les arbouses, ou les sorbes, ou encore les dattes
- le Melon de Noël (Verdau), pour la fraîcheur de l'esprit.
- le Raisin blanc (servant), pour la vitalité.
- lles mandarines et les oranges dont on fabrique avec les peaux des veilleuses que l’on place dans la crèche et qui dégagent une odeur agréable, emplie des souvenirs des Noël précédents pour la réussite des vœux émis dans le silence du cœur.
Enfin, les confiseries et pâtisseries
- les Nougats noirs et blancs pour l'humeur des jours.
- la Pâte de Coings, pour une année de richesses
- le 'Gibassié' ou pompe à l'huile d'olive, appelée fougasse à Arles (galette de farine cuite avec de l'huile d'olive et de la fleur d'oranger), gage de réussite. Selon la tradition, il faut rompre la pompe à huile comme le Christ a rompu le pain et ne pas la couper pour ne pas se retrouver ruiné l'année suivante.
- les Cédrats confits
- les Nougats blancs & nougats noirs
- les Calissons ou les biscotins d'Aix
Lorsque vous aurez dégusté, tour à tour, 12 desserts, vous pourrez, avec la première mandarine, faire votre vœu secret qui sera vraisemblablement exaucé dans l'année.
Les treize desserts sont tous présents sur une même table et sont accompagnés par du vin cuit.
Ils concluent le gros souper, en attendant de se rendre à la messe de minuit.
Pompe à huile
Pour 8 personnes :
- 500 g de farine
- 25 g de levure
- 75 g de sucre
- 150 g d huile d olive
- 1 orange
- 1 citron
- 10 g de sel
1/ Mélanger la levure, 200 g farine et un verre eau et laisser lever 45 minutes.
2/ Ajouter l'huile d'olive, la farine restante, les zeste de citron et d'orange, le sel et le sucre. Mélanger doucement et laisser lever 3 heures.
3/ Etaler la pâte en forme de galette (30 cm de diamètre environ) et laisser lever 1 heure. Cuire au four chaud (220°C) pendant 15 minutes. A la sortie du four, badigeonner d'huile d'olive.
Les brassadeaux ou gimbeleto, une patisserie très ancienne, les jeunes mariés devaient s'en mettre un autour du poignet et faire une danse... Frédéric Mistral a même fait un poème sur ce thème.
Ingrédients
1 kg de farine
6 oeufs
130 gr de beurre
1 sachet de levure de boulanger
300 gr de sucre
2 cuillères à soupe de fleur d'oranger
1 cuillère à soupe de rhum ( facultatif)
1 zeste d' orange non traitée
1zeste d' un citron non traité
1 pincée de sel
Préparation
Mettre la farine dans un saladier, y faire un puits en son milieu et y ajouter les oeufs, le sucre, le beurre que l'on aura fait fondre préalablement au micro-ondes, le sel, et les zestes de l'orange et du citron. Pétrir délicatement enfin d'obtenir une pâte homogène.
Préparer la levure en mettant le sachet dans un bol, y ajouter 2 cuillères à soupe de lait tiède et laisser reposer le tout sans mélanger pendant 15 minutes, après ce lap de temps, remuer et mettre dans le saladier.
Mettre le rhum si on le désire, puis les 2 cuillères à soupe de fleur d'oranger.
Travailler la pâte 5 minutes pour qu'elle s'assouplisse, la mettre en boule, la laisser reposer 3 heures dans un endroit tiède.
Couper cette pâte de la grosseur d'une orange, lui donner une forme de bracelet, ne pas oublier de souder avec de l'eau les deux extrémités.
Faire chauffer une marmite d'eau, lorsque celle-ci bout y jeter les brassadeaux, lorsqu'ils remontent ils sont cuits (c'est la première cuisson), les mettre à sécher sur un torchon propre pendant 4 heures.
Disposer ces anneaux sur une plaque beurrée et les enfourner 15 minutes à four chaud à 180° (c'est la deuxième cuisson), ils doivent avoir une belle couleur dorée, les laisser refroidir sur la grille.
Croquants marseillais
Pour 4 personnes :
- 2 cuillères à soupe de pastis
- 1 cuillère à soupe de café soluble
- 200 g de farine
- 110 g de sucre
- 1 oeuf et 1 blanc d oeuf
- 1 cuillère à café de bicarbonate
1/ Faire chauffer le pastis dans une petite casserole. Ajouter le café et remuer jusqu'à ce qu'il soit dissous. Retirer du feu.
2/ Mélanger la farine, le sucre et le bicarbonate dans un saladier. Ajouter le reste des ingrédients. Déposer la préparation sur une surface farinée et pétrir jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène.
3/ Façonner un pain de 18 cm de long et mettre à cuire 45 minutes à 180°C jusqu'à ce qu'il soit doré et croustillant. Laisser refroidir et découper en tranches de 1,5 cm d'épaisseur.
Si vous ne supportez pas l'alcool, vous pouvez remplacer le pastis par du sirop d'anis. Dans ce cas, sucrez moins.
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Provence
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Diou nous fague la graci di veïre l’an que ven.
Se sian pas mai que siguen pas men
Diou nous fague la graci di veïre l’an que ven.
Se sian pas mai que siguen pas men
Tuesday, December 21, 2010
Dailymotion - Nuit Celtique III - I Muvrini et Polyphonies Corses - une vidéo Musique
Dailymotion - Nuit Celtique III - I Muvrini et Polyphonies Corses - une vidéo Musique: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
la chine et l'eurozone ! texte recup et traduit !
China is at it again. It is committing trade cheating, as the media sleeps at the wheel.
This is the ploy China utilizes: It deliberately keeps its Yuan 25 to 50 % lower than it should be. It copied a Japanese technique that was mastered in the late 1980's. China is piling up USD reserves because they don't convert these American dollar export earnings to Yuan. If the Chinese do this, it would increase their currency's value, along with cost of their exports.
Now, the Chinese is collaborating with the Germans. They are now facilitating the export of BMW's, Mercedes, Audi's and an occasional Porsche for a huge bonanza. At the same time, they are chasing down Greece's junk bonds so that Germany doesn't have to. With their indirect assistance to Germany at the present, the Chinese are helping selves out handsomely in long run. by doing so, it is hedging that the Euro doesn't collapse, so China's good can continue to flow freely into the Eurozone.
As media is comatose in its rhetorical slumber, the Chinese are doing one thing: Looking after their own while sticking it to the world in order to do so
Traduction (anglais > français)
La Chine est à nouveau. Il commet la tricherie du commerce, que les médias dort au volant.
C'est le stratagème de la Chine utilise: Il maintient à dessein Yuan de 25 à 50% inférieure à ce qu'elle devrait être. Il copié une technique japonaise qui a été maîtrisé dans la fin des années 1980. La Chine accumule des réserves USD parce qu'ils ne se convertissent pas ces revenus américains en dollars des exportations de Yuan. Si les Chinois ce faire, il serait d'augmenter la valeur de leur monnaie, ainsi que le coût de leurs exportations.
Maintenant, les Chinois en collaboration avec les Allemands. Ils sont maintenant de faciliter l'exportation de BMW, Mercedes, Audi et Porsche une occasion pour une manne énorme. Dans le même temps, ils sont pourchassant junk bonds de la Grèce ainsi que l'Allemagne n'a pas à. Avec leur aide indirecte à l'Allemagne à l'heure actuelle, les Chinois sont les mêmes d'aider généreusement à long terme. ce faisant, il est de couverture que l'euro ne s'effondre pas, si la Chine est bon de continuer à circuler librement dans la zone euro.
Alors que les médias est dans le coma dans son sommeil rhétorique, les Chinois font une chose: s'occuper de leurs propres tout en le collant dans le monde afin de le faire
This is the ploy China utilizes: It deliberately keeps its Yuan 25 to 50 % lower than it should be. It copied a Japanese technique that was mastered in the late 1980's. China is piling up USD reserves because they don't convert these American dollar export earnings to Yuan. If the Chinese do this, it would increase their currency's value, along with cost of their exports.
Now, the Chinese is collaborating with the Germans. They are now facilitating the export of BMW's, Mercedes, Audi's and an occasional Porsche for a huge bonanza. At the same time, they are chasing down Greece's junk bonds so that Germany doesn't have to. With their indirect assistance to Germany at the present, the Chinese are helping selves out handsomely in long run. by doing so, it is hedging that the Euro doesn't collapse, so China's good can continue to flow freely into the Eurozone.
As media is comatose in its rhetorical slumber, the Chinese are doing one thing: Looking after their own while sticking it to the world in order to do so
Traduction (anglais > français)
La Chine est à nouveau. Il commet la tricherie du commerce, que les médias dort au volant.
C'est le stratagème de la Chine utilise: Il maintient à dessein Yuan de 25 à 50% inférieure à ce qu'elle devrait être. Il copié une technique japonaise qui a été maîtrisé dans la fin des années 1980. La Chine accumule des réserves USD parce qu'ils ne se convertissent pas ces revenus américains en dollars des exportations de Yuan. Si les Chinois ce faire, il serait d'augmenter la valeur de leur monnaie, ainsi que le coût de leurs exportations.
Maintenant, les Chinois en collaboration avec les Allemands. Ils sont maintenant de faciliter l'exportation de BMW, Mercedes, Audi et Porsche une occasion pour une manne énorme. Dans le même temps, ils sont pourchassant junk bonds de la Grèce ainsi que l'Allemagne n'a pas à. Avec leur aide indirecte à l'Allemagne à l'heure actuelle, les Chinois sont les mêmes d'aider généreusement à long terme. ce faisant, il est de couverture que l'euro ne s'effondre pas, si la Chine est bon de continuer à circuler librement dans la zone euro.
Alors que les médias est dans le coma dans son sommeil rhétorique, les Chinois font une chose: s'occuper de leurs propres tout en le collant dans le monde afin de le faire
John Perkins - Wikipédia
John Perkins - Wikipédia: "Perkins soutient qu'une certaine élite aux États-Unis souhaite construire un empire global, défini par les présidents Lyndon Johnson et Richard Nixon. Pour ce faire, ils ont constitué un groupe de consultants qui utilisent les organisations financières internationales pour créer les conditions permettant d'assujettir des nations à cet empire par l'endettement économique auprès d'organismes comme le FMI et la Banque mondiale. La tâche de ces consultants est de justifier et d'argumenter la conclusion par des États d'énormes prêts internationaux dont l'argent finira, déduction faite des sommes destinées à la corruption des élites locales, sur les comptes en banques de grandes sociétés d'ingénierie et de construction américaines. Les besoins en liquidités ayant été au préalable surévalués par ces consultants, l'État se révèle incapable de payer sa dette et en sujétion vis-à-vis du créancier. Cette position de pouvoir permettant ensuite d'exiger à l'état sujet l'établissement de bases militaires, un vote favorable aux Nations unies ainsi qu'une loyauté politique en général ou l'accès à d'éventuelles richesses pétrolières et autres ressources naturelles. Il qualifie ses méthodes de mafieuses.
Parfois ces prêts prennent la forme pernicieuse d'une aide au développement, ce que critique Perkins comme étant motivée par la cupidité. Il s'attaque d'ailleurs au bien fondé de cet idéal, se demandant si le monde entier peut vivre avec le même train de vie que les États-Unis en sachant que les ressources sont limitées et exprime des doutes sur la viabilité et le suprématisme du système dominant, étant donnée sa piètre qualité de vie et ses hauts taux statistiques de suicides, divorces, abus de drogues, dépressions et crimes.
Il désigne le dollar comme pierre angulaire de l'empire global en expliquant que c'est le fait qu'il soit la principale monnaie internationale qui permet la pérennité de ce système. Car tous ces prêts à fonds perdus risqueraient, pour un autre créancier, de provoquer une banqueroute. Mais les États-Unis impriment de l'argent qui n'est pas soutenu par l'étalon-or, juste par la confiance internationale dans l'économie américaine et, précisément, son empire global. Les États-Unis peuvent ainsi accumuler une immense dette nationale (début 2003, 6 trillions de $). Il prévoit un possible effondrement de ce système si une nouvelle monnaie internationale devait remplacer le dollar comme monnaie de transaction et si les créanciers des États-Unis demandaient le remboursement de leur dette dans une autre monnaie, par exemple l'euro.
Il explique que lorsque les « assassins financiers » comme lui échouent dans leurs plans, des tueurs à gages font leur apparition, les « chacals » et assassinent les personnes faisant obstacle aux ambitions américaines. Puis, en dernier recours, si les assassins échouent aussi, des soldats américains sont envoyés au combat, suivant une stratégie d'impérialisme classique.
Pour Perkins, l'invasion de l'Irak en 1990 fut décidé avec la libération du Koweït comme prétexte, non comme but, le but étant de détrôner Saddam Hussein qui n'avait pas accepté de jouer un rôle de marionnette de cette stratégie de sujétion à l'empire global à cause de son nationalisme.
Perkins s'oppose à l'idéologie de la Destinée manifeste visant à justifier l'expansionisme américain.
Il nie tout apport aux Théories du complot, soutenant que nous ne pouvons jeter le blâme sur une conspiration quelconque car bien que l'empire global dépende de l'efficacité des banques, des compagnies et des gouvernements, c'est nous même qui en permettons l'existence étant donné que nous travaillons aussi pour ces sociétés et consommons les produits qu’elles commercialisent, bien qu'il soit plus facile de jeter le blâme sur un bouc émissaire. Pour lui l'élite qui travaille pour l'empire global est une simple association d'intérêts et de croyances communes, non de comploteurs maléfiques.
Il soutient la vision politique du président américain Jimmy Carter, considéré comme le président américain le plus proche des idéaux des insurgés de 1776 et raille celle de Ronald Reagan qualifié « d'acteur habitué à se faire diriger ». Il dénonce Robert McNamara comme étant l'homme qui a permis de transformer la Banque mondiale en un moyen d'asservissement du tiers monde à l'empire global.
Le département d'État américain a affirmé que les thèses de Perkins n'avaient aucun fondement et qu'il n'était qu'un théoricien de la conspiration de plus[3].
Méthodes de manipulation économiques[modifier]
Il s'agit de justifier l'endettement d'un pays en prétextant une future augmentation du PNB. Le projet économique ayant pour résultat la plus forte croissance annuelle moyenne du PNB devait l'emporter sur les autres. Pour ce faire, Perkins décrit la « méthode Markov de modélisation économétrique » comme ayant été développée sous sa supervision par un mathématicien du Massachusetts Institute of Technology, le titulaire d'un doctorat Nadipuram Prasad, pour soi-disant prévoir l'impact d'un investissement infrastructurel sur le développement économique. L'avantage de convaincre par des calculs complexes est que seul un économètre doué et ayant du temps devant lui pourrait contester une affirmation issue de cette méthode. Perkins dénonce la nature trompeuse du PNB : celui-ci peut croître même s'il ne profite qu'à une seule personne dans un pays. Il peut croître, même si les riches s'enrichissent et les pauvres s'appauvrissent. Même si le fardeau de dettes prive ses plus pauvres citoyens de soins de santé, d'éducation et d'autres services sociaux durant des décennies.
– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
http://www.youtube.com/watch?v=9VlRirraaks
http://www.economichitman.com/
Parfois ces prêts prennent la forme pernicieuse d'une aide au développement, ce que critique Perkins comme étant motivée par la cupidité. Il s'attaque d'ailleurs au bien fondé de cet idéal, se demandant si le monde entier peut vivre avec le même train de vie que les États-Unis en sachant que les ressources sont limitées et exprime des doutes sur la viabilité et le suprématisme du système dominant, étant donnée sa piètre qualité de vie et ses hauts taux statistiques de suicides, divorces, abus de drogues, dépressions et crimes.
Il désigne le dollar comme pierre angulaire de l'empire global en expliquant que c'est le fait qu'il soit la principale monnaie internationale qui permet la pérennité de ce système. Car tous ces prêts à fonds perdus risqueraient, pour un autre créancier, de provoquer une banqueroute. Mais les États-Unis impriment de l'argent qui n'est pas soutenu par l'étalon-or, juste par la confiance internationale dans l'économie américaine et, précisément, son empire global. Les États-Unis peuvent ainsi accumuler une immense dette nationale (début 2003, 6 trillions de $). Il prévoit un possible effondrement de ce système si une nouvelle monnaie internationale devait remplacer le dollar comme monnaie de transaction et si les créanciers des États-Unis demandaient le remboursement de leur dette dans une autre monnaie, par exemple l'euro.
Il explique que lorsque les « assassins financiers » comme lui échouent dans leurs plans, des tueurs à gages font leur apparition, les « chacals » et assassinent les personnes faisant obstacle aux ambitions américaines. Puis, en dernier recours, si les assassins échouent aussi, des soldats américains sont envoyés au combat, suivant une stratégie d'impérialisme classique.
Pour Perkins, l'invasion de l'Irak en 1990 fut décidé avec la libération du Koweït comme prétexte, non comme but, le but étant de détrôner Saddam Hussein qui n'avait pas accepté de jouer un rôle de marionnette de cette stratégie de sujétion à l'empire global à cause de son nationalisme.
Perkins s'oppose à l'idéologie de la Destinée manifeste visant à justifier l'expansionisme américain.
Il nie tout apport aux Théories du complot, soutenant que nous ne pouvons jeter le blâme sur une conspiration quelconque car bien que l'empire global dépende de l'efficacité des banques, des compagnies et des gouvernements, c'est nous même qui en permettons l'existence étant donné que nous travaillons aussi pour ces sociétés et consommons les produits qu’elles commercialisent, bien qu'il soit plus facile de jeter le blâme sur un bouc émissaire. Pour lui l'élite qui travaille pour l'empire global est une simple association d'intérêts et de croyances communes, non de comploteurs maléfiques.
Il soutient la vision politique du président américain Jimmy Carter, considéré comme le président américain le plus proche des idéaux des insurgés de 1776 et raille celle de Ronald Reagan qualifié « d'acteur habitué à se faire diriger ». Il dénonce Robert McNamara comme étant l'homme qui a permis de transformer la Banque mondiale en un moyen d'asservissement du tiers monde à l'empire global.
Le département d'État américain a affirmé que les thèses de Perkins n'avaient aucun fondement et qu'il n'était qu'un théoricien de la conspiration de plus[3].
Méthodes de manipulation économiques[modifier]
Il s'agit de justifier l'endettement d'un pays en prétextant une future augmentation du PNB. Le projet économique ayant pour résultat la plus forte croissance annuelle moyenne du PNB devait l'emporter sur les autres. Pour ce faire, Perkins décrit la « méthode Markov de modélisation économétrique » comme ayant été développée sous sa supervision par un mathématicien du Massachusetts Institute of Technology, le titulaire d'un doctorat Nadipuram Prasad, pour soi-disant prévoir l'impact d'un investissement infrastructurel sur le développement économique. L'avantage de convaincre par des calculs complexes est que seul un économètre doué et ayant du temps devant lui pourrait contester une affirmation issue de cette méthode. Perkins dénonce la nature trompeuse du PNB : celui-ci peut croître même s'il ne profite qu'à une seule personne dans un pays. Il peut croître, même si les riches s'enrichissent et les pauvres s'appauvrissent. Même si le fardeau de dettes prive ses plus pauvres citoyens de soins de santé, d'éducation et d'autres services sociaux durant des décennies.
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http://www.youtube.com/watch?v=9VlRirraaks
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Le terminus de la bataille des « ismes »
Le terminus de la bataille des « ismes »: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Monday, December 20, 2010
PAÍS NÒSTRE Pensar en Lengadòc
PAÍS NÒSTRE Pensar en Lengadòc: "Signalétique bilingue. Une proposition de loi
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Signalétique bilingue. Une proposition de loi
Monsieur Robert HADJADJ
460 carrièra dels Amandiers F.34750 VILANÒVA DE MAGALONA
Monsieur,
Vous venez de porter plainte devant le Tribunal Administratif contre la municipalité de Villeneuve Les Maguelone (34) qui a fait installer des panneaux bilingues français-occitan à l'entrée de la ville.
J’en prends acte avec beaucoup de tristesse et de …commisération.
Je comprends qu’il doit vous être pénible de ne plus vivre au temps où l’on coupait les têtes… Epoque où d’aucuns hurlaient avec les loups sanguinaires tout en prenant garde toutefois à ne pas perdre la leur…
Vous vous proclamez républicain ? Souffrez que je vous dise que je le suis aussi !
Pour autant, à la différence, alors que semble-t-il nous partageons les mêmes valeurs, que je suis agnostique et que de votre côté vous me semblez avoir une religion - le jacobinisme - et des dogmes dont le refus de la tolérance et celui et du rejet de la différence qui fait pourtant la richesse d’une Communauté humaine, Aller dans le sen de l’uniformisation que vous souhaitez est militer, en fait, pour la banalisation des esprits et des cultures chère aux tenants de la globalisation financiarisée, mondialisée de l’économie. Ce que je combats quant à moi.
Il me souvient qu’en mai 2010, à la suite de la parution d’un article concernant le problème de la réunification de la Bretagne, vous m’aviez écrit « Non, la Loire-Atlantique n'appartient pas à la Bretagne, elle appartient à la Nation française. Vivent les départements, vive la République une et indivisible. » Ce faisant, vous vous êtes mis, par votre ostracisme, dans le camp de ceux qui cautionnent le régime de VICHY en refusant, se proclamant républicains, la réunification de la Bretagne, « francisquée » par le décret de Pétain du 30 juin 1941.
Cela n’est PAPON du tout !
Vous aviez continué : « Défendons plutôt la langue française, la langue de la République et de la Francophonie, qui est attaquée tous les jours par l'anglais, uniformisateur de vie et de pensée.
Lors d’un entretien téléphonique que nous avions eu à ce moment-là je vous avais dit que « mon combat était journalier pour défendre la langue française comme toutes les langues, comme je défends les langues régionales et/ou minoritaires qui sont, pour moi, un rempart contre la langue anglaise. Je vous avais même dit que ceux qui combattaient les langues régionales et/ou minoritaires - qui appartiennent à notre patrimoine - se plaçaient de facto dans le camp de ceux qui collaboraient à la disparition de la langue française. (voir mon site)
J’avais également insisté sur le fait que je travaille en permanence avec les associations qui oeuvrent pour la défense de la langue française au Québec et dans les Pays francophones.
Etant régionaliste fédéraliste et contre tout nationalisme, je considère quant à moi que la République « une et indivisible » que vous prônez est le résiduel d’un jacobinisme centralisateur, obscurantiste et d’un autre temps. On voit aujourd’hui où il a mené notre Pays.
A ce propos je n’ai rien lu sous votre plume concernant l’avènement d’un « Grand Paris ? »
Ce jacobinisme fait, à lui tout seul, plus de mal à la République que toutes les atteintes qui lui sont portées en permanence par des personnes qui comme vous, prêchent l’intolérance et sont contre la modernité. Cela en oubliant de dénoncer ceux, partis, syndicats, qui bafouent la République et lui font subir, chaque jour, les pires outrages.
De plus je vous pose la question de savoir si c’est être Républicain, démocrate que d’en appeler à l’abstention, comme vous l’avez fait en 2009, lors des régionales?
Il est curieux de constater que, ce faisant, vous vous êtes retrouvé là en belle compagnie.
Celle d’un autre jacobin « pur sucre » Jean Louis Debré qui a le même respect que vous-même semble-t-il, pour le symbole de la démocratie et la citoyenneté représenté par le droit de vote!
Il a oublié, alors qu’il en est le garant, en sa « qualité » de président du Conseil constitutionnel, un extrait de l’article 3 de la Constitution de la Vème République du 4 octobre 1958 : « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par voie de référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. »
C’est cette participation des citoyens qui fonde et légitime la démocratie représentative.
« Il est évident (ce que je démontre depuis 1989) que l’abstention traduit une crise de la représentation et peut aboutir à un affaiblissement de la légitimité du pouvoir politique élu avec un fort taux d’abstention, et qui ne représenterait alors qu’une partie de la population. » (Source site gouvernemental : http://www.vie-publique.fr/)
Un autre point d’importance est le fait que « La citoyenneté en France peut aujourd’hui revêtir plusieurs formes. Etre citoyen, c’est avant tout AVOIR le droit et le DEVOIR de voter »
( Source site : http://pedagogie.ac-toulouse.fr/lyc-gourdon/spip/profs/sa...
Or « Citoyenneté et libertés publiques » (dont la protection doit être assurée par le Conseil Constitutionnel) - traduction en droit positif des droits de l’Homme tels qu'ils ont été consacrés au XVIIIe siècle - ne peuvent être, me semble-t-il être dissociées ?
Il y a quelques temps des esprits troublés ou abusés dans leurs ambitions démagogiques et populistes, pour gagner quelques suffrages, ont mis en débat « l’identité française » et « les symboles de la République.» Vous en connaissez comme moi les fâcheux résultats.
Vous avez été le fer de lance d’une démarche d’arrière garde en déposant la plainte dont vous êtes l’auteur. Je souhaite en appeler à votre bon sens pour que vous fassiez amende honorable et preniez la dimension de votre erreur. Ce qui deviendrait une faute si vous persistiez.
Cela me rend triste pour vous et les autres causes que vous défendez dont il en est de plus nobles j’en suis persuadé.
D’où ma profonde commisération à votre égard.
Gérard GAUTIER
Saint-Brieuc le 8 novembre 2010
Ancien Conseiller Régional de Bretagne Président Mouvement « BLANC C’EST EXPRIMÉ »
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Signalétique bilingue. Une proposition de loi
Monsieur Robert HADJADJ
460 carrièra dels Amandiers F.34750 VILANÒVA DE MAGALONA
Monsieur,
Vous venez de porter plainte devant le Tribunal Administratif contre la municipalité de Villeneuve Les Maguelone (34) qui a fait installer des panneaux bilingues français-occitan à l'entrée de la ville.
J’en prends acte avec beaucoup de tristesse et de …commisération.
Je comprends qu’il doit vous être pénible de ne plus vivre au temps où l’on coupait les têtes… Epoque où d’aucuns hurlaient avec les loups sanguinaires tout en prenant garde toutefois à ne pas perdre la leur…
Vous vous proclamez républicain ? Souffrez que je vous dise que je le suis aussi !
Pour autant, à la différence, alors que semble-t-il nous partageons les mêmes valeurs, que je suis agnostique et que de votre côté vous me semblez avoir une religion - le jacobinisme - et des dogmes dont le refus de la tolérance et celui et du rejet de la différence qui fait pourtant la richesse d’une Communauté humaine, Aller dans le sen de l’uniformisation que vous souhaitez est militer, en fait, pour la banalisation des esprits et des cultures chère aux tenants de la globalisation financiarisée, mondialisée de l’économie. Ce que je combats quant à moi.
Il me souvient qu’en mai 2010, à la suite de la parution d’un article concernant le problème de la réunification de la Bretagne, vous m’aviez écrit « Non, la Loire-Atlantique n'appartient pas à la Bretagne, elle appartient à la Nation française. Vivent les départements, vive la République une et indivisible. » Ce faisant, vous vous êtes mis, par votre ostracisme, dans le camp de ceux qui cautionnent le régime de VICHY en refusant, se proclamant républicains, la réunification de la Bretagne, « francisquée » par le décret de Pétain du 30 juin 1941.
Cela n’est PAPON du tout !
Vous aviez continué : « Défendons plutôt la langue française, la langue de la République et de la Francophonie, qui est attaquée tous les jours par l'anglais, uniformisateur de vie et de pensée.
Lors d’un entretien téléphonique que nous avions eu à ce moment-là je vous avais dit que « mon combat était journalier pour défendre la langue française comme toutes les langues, comme je défends les langues régionales et/ou minoritaires qui sont, pour moi, un rempart contre la langue anglaise. Je vous avais même dit que ceux qui combattaient les langues régionales et/ou minoritaires - qui appartiennent à notre patrimoine - se plaçaient de facto dans le camp de ceux qui collaboraient à la disparition de la langue française. (voir mon site)
J’avais également insisté sur le fait que je travaille en permanence avec les associations qui oeuvrent pour la défense de la langue française au Québec et dans les Pays francophones.
Etant régionaliste fédéraliste et contre tout nationalisme, je considère quant à moi que la République « une et indivisible » que vous prônez est le résiduel d’un jacobinisme centralisateur, obscurantiste et d’un autre temps. On voit aujourd’hui où il a mené notre Pays.
A ce propos je n’ai rien lu sous votre plume concernant l’avènement d’un « Grand Paris ? »
Ce jacobinisme fait, à lui tout seul, plus de mal à la République que toutes les atteintes qui lui sont portées en permanence par des personnes qui comme vous, prêchent l’intolérance et sont contre la modernité. Cela en oubliant de dénoncer ceux, partis, syndicats, qui bafouent la République et lui font subir, chaque jour, les pires outrages.
De plus je vous pose la question de savoir si c’est être Républicain, démocrate que d’en appeler à l’abstention, comme vous l’avez fait en 2009, lors des régionales?
Il est curieux de constater que, ce faisant, vous vous êtes retrouvé là en belle compagnie.
Celle d’un autre jacobin « pur sucre » Jean Louis Debré qui a le même respect que vous-même semble-t-il, pour le symbole de la démocratie et la citoyenneté représenté par le droit de vote!
Il a oublié, alors qu’il en est le garant, en sa « qualité » de président du Conseil constitutionnel, un extrait de l’article 3 de la Constitution de la Vème République du 4 octobre 1958 : « La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par voie de référendum. Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. »
C’est cette participation des citoyens qui fonde et légitime la démocratie représentative.
« Il est évident (ce que je démontre depuis 1989) que l’abstention traduit une crise de la représentation et peut aboutir à un affaiblissement de la légitimité du pouvoir politique élu avec un fort taux d’abstention, et qui ne représenterait alors qu’une partie de la population. » (Source site gouvernemental : http://www.vie-publique.fr/)
Un autre point d’importance est le fait que « La citoyenneté en France peut aujourd’hui revêtir plusieurs formes. Etre citoyen, c’est avant tout AVOIR le droit et le DEVOIR de voter »
( Source site : http://pedagogie.ac-toulouse.fr/lyc-gourdon/spip/profs/sa...
Or « Citoyenneté et libertés publiques » (dont la protection doit être assurée par le Conseil Constitutionnel) - traduction en droit positif des droits de l’Homme tels qu'ils ont été consacrés au XVIIIe siècle - ne peuvent être, me semble-t-il être dissociées ?
Il y a quelques temps des esprits troublés ou abusés dans leurs ambitions démagogiques et populistes, pour gagner quelques suffrages, ont mis en débat « l’identité française » et « les symboles de la République.» Vous en connaissez comme moi les fâcheux résultats.
Vous avez été le fer de lance d’une démarche d’arrière garde en déposant la plainte dont vous êtes l’auteur. Je souhaite en appeler à votre bon sens pour que vous fassiez amende honorable et preniez la dimension de votre erreur. Ce qui deviendrait une faute si vous persistiez.
Cela me rend triste pour vous et les autres causes que vous défendez dont il en est de plus nobles j’en suis persuadé.
D’où ma profonde commisération à votre égard.
Gérard GAUTIER
Saint-Brieuc le 8 novembre 2010
Ancien Conseiller Régional de Bretagne Président Mouvement « BLANC C’EST EXPRIMÉ »
PAÍS NÒSTRE Pensar en Lengadòc
PAÍS NÒSTRE Pensar en Lengadòc: "Gérard Gautier, vià la Bretanha nos a mandat un poèma francés : UNIVERSALITAT.
UNIVERSALITÉ
Issus des temps, d’Occitan,
Du Levant ou du Ponant
Les langues premières
Sont en France jacobine
Témoignages de Connaissance,
Signatures indélébiles
Des Régions originelles,
Elles portent des Peuples
Le sceau de leur histoire,
Des Cultures multiples
Les graines d’espoir
De superbes floraisons.
Heureuses survivances
Par les anciens
Jusqu’à nous préservées
Elles font chanter à l’oreille
La peinture colorée
De la glaise des terroirs,
Du calcaire des garrigues
Aux buissons brûlés de soleil,
Des cimes enneigées
Du parler aux senteurs
De foins jaunis,
De fenouil, de badiane,
D’iode tonique d’océane Bretagne.
Langues premières,
Riche palette enchantée de la diversité,
Aux accents,
Couleurs de genêts,
Roulant comme rocailles
Rouillées de mousses antiques,
Aux sons endiablés des tambourins
Bombardes, vielles ou makilas,
Aux gouleyantes saveurs
De vins généreux,
De bières onctueuses,
De cidres aigrelets,
De douceur tourangelle
D’aïoli provençal,
Du bleu des montagnes érodées.
Langues premières
Que des fous parricides
Veulent gommer pour
Racines couper,
Lisse-parler imposer,
Esprits, mieux dompter.
Pour ces langues premières
Patrimoine de l’Humanité,
Les fossoyeurs de l’ignorance
Creusent un destin
De langues mortes
Au lieu de les libérer
Pour que toujours
Langue de Molière rayonne !
Gérard GAUTIER Mai 2004
Extrait du recueil « Je suis une île… » Editions L’Echarpe
– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
UNIVERSALITÉ
Issus des temps, d’Occitan,
Du Levant ou du Ponant
Les langues premières
Sont en France jacobine
Témoignages de Connaissance,
Signatures indélébiles
Des Régions originelles,
Elles portent des Peuples
Le sceau de leur histoire,
Des Cultures multiples
Les graines d’espoir
De superbes floraisons.
Heureuses survivances
Par les anciens
Jusqu’à nous préservées
Elles font chanter à l’oreille
La peinture colorée
De la glaise des terroirs,
Du calcaire des garrigues
Aux buissons brûlés de soleil,
Des cimes enneigées
Du parler aux senteurs
De foins jaunis,
De fenouil, de badiane,
D’iode tonique d’océane Bretagne.
Langues premières,
Riche palette enchantée de la diversité,
Aux accents,
Couleurs de genêts,
Roulant comme rocailles
Rouillées de mousses antiques,
Aux sons endiablés des tambourins
Bombardes, vielles ou makilas,
Aux gouleyantes saveurs
De vins généreux,
De bières onctueuses,
De cidres aigrelets,
De douceur tourangelle
D’aïoli provençal,
Du bleu des montagnes érodées.
Langues premières
Que des fous parricides
Veulent gommer pour
Racines couper,
Lisse-parler imposer,
Esprits, mieux dompter.
Pour ces langues premières
Patrimoine de l’Humanité,
Les fossoyeurs de l’ignorance
Creusent un destin
De langues mortes
Au lieu de les libérer
Pour que toujours
Langue de Molière rayonne !
Gérard GAUTIER Mai 2004
Extrait du recueil « Je suis une île… » Editions L’Echarpe
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PAÍS NÒSTRE Pensar en Lengadòc
PAÍS NÒSTRE Pensar en Lengadòc: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
u bloggu
u bloggu: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Lo blòg de Libertat Provença -
Lo blòg de Libertat Provença -: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Democracia per Occitània
Democracia per Occitània: "– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Robert HADJADJ, un glandeur anti tout! Les Occitans te disent MERCI! : Râleur Démocrate et fier de l'être
Robert HADJADJ, un glandeur anti tout! Les Occitans te disent MERCI! : Râleur Démocrate et fier de l'être: "27.10.2010
Robert HADJADJ, un glandeur anti tout! Les Occitans te disent MERCI!
Saint du jour : Sainte Emeline
Contrepèteries : Ce fonceur n’aime pas les cars.
Les sentinelles répandaient leurs bières dans les guérites.
Le mélèze cache plein de bardes.
Quelle incitation pour les fèves.
Dicton Français : L’amitié n’a pas d’âge ni de temps.
Dicton Juif : Il vaut mieux travailler à l’étranger que mourir chez soi.
Dicton Africain : La persévérance est un talisman pour la vie.
Dicton Occitan : Es sot coma rauba saumas. Il est sot comme un voleur d'ânesse
Proverbe Chinois : Un homme heureux est un homme qui se contente de peu (Confucius)
Robert Hadjadj, un glandeur anti tout ! Les Occitans te disent MERCI !
On nous dit que les Tribunaux sont surchargés, plus le temps de s’occuper les dossiers. Finalement, les Français estiment dans leur majorité, que la Justice ne fait pas son travail ou le fait très mal.
Mais encore faudrait-il que les affaires qui lui sont soumises aient de l’importance et dans certains cas soient partagées par un nombre suffisants de Français.
Sans doute, l’article concernant la municipalité de Villeneuve-lès-Maguelone et ses panneaux indicateurs écrits en Occitan, est-il passé inaperçu aux yeux de nombreux Français, mais il n’est pas passé inaperçu aux nombreux Occitans. Le responsable de cette plainte : Monsieur Robert HADJADJ, se disant Président d’un association complètement inconnue de maboules se disant de purs Républicains, le MRSP, Mouvement Républicain de Salut Public.
Monsieur Hadjadj sait-il que le Comité se Salut Public avait des pouvoirs illimités et gouverna de façon dictatoriale, contrairement à ce que pourrait faire penser le but de l’association de ce pantin histerico-procédurier.
Je ne sais pas si ce Monsieur habite dans la région et à Villeneuve-lès-Maguelone, mais si je peux me permettre, si les panneaux en Occitan le gène, il n’a qu’à aller habiter ailleurs. Je ne suis ni raciste, ni antisémite, mais peut-être, Monsieur Robert Hadjadj devrait-il aller en Israël, il pourra toujours y combattre, autre chose que des panneaux de circulation.
Il me vient une idée, très saugrenue. Si les panneaux en Occitan sont interdits à cause de ce Monsieur de confession juive, peut-être devrait-on faire interdire toutes les inscriptions en Hébreu figurant sur certains magasins, par exemple de viande Kasher, et même faire interdire les caractères hébreux sur les synagogues. Mais je ne souhaiterais pas ce type d’ennuis à mes nombreux amis Juifs du Sentier et de la région Parisienne.
En attendant, Monsieur Hadjadj, si vous habitez la région, vous allez avoir beaucoup de travail car l’Occitanie, ce sont 31 départements, réunissant plus de 17 millions d’habitants dont au minimum 10% parlent plus ou moins couramment l’Occitan. Plus de 1,5 millions d’Occitans parlant cette langue vivante, plus les nombreux Occitans, qui, comme moi, ne parle pas l’Occitan mais sont de culture Occitane, cela vaut bien quelques panneaux routiers, c’est un minimum de reconnaissance.
Monsieur Hadjadj, votre association n’ayant rien à faire et n’étant aucunement Républicaine, peut-être pourriez-vous la renommer :
Minable Rassemblement du Saltimbanque Procédurier.
En attendant , Monsieur, les Occitans connaissent suffisamment les dictons Yiddish et il en est un que nous n’oublierons pas, puisque vous avez donné et que nous avons reçu :
QUI DONNE NE DOIT JAMAIS S’EN SOUVENIR, QUI REÇOIT NE DOIT JAMAIS OUBLIER.
15:13 Publié dans SUPER COUP DE GUEULE | Lien permanent | Commentaires (13) | Envoyer cette note | Tags : robert hadjadj, occitan, occitanie, villeneuve-lès-maguelone, panneaux routiers, procédurier, salut public, mrsp, hébreu, interdiction
Commentaires
HADJAD FAIT ENCORE PARLER DE LUI
IL NE FAUDRAIT PAS OUBLIER QUE LES OCCITANT L'ONT ACCEUILLI LUI ET LES SIENS QUAND ILS ONT ETE FOUTU DEHORS D'ALGERIE ET CE TORDU DE LA TETE VEU FAIRE SA LOI ICI EN OCCITANIE
MAIS QU'ON LE FOUTE NOUS AUSSI DEHORS LUI ET LES SIENS LA TOLERANCE OCCITANE A DES LIMITES ET CE TYPE LES A DEPASSE
ALORS JE DIS BIEN FORT ''R. HADJD FERMES LA OU DEGAGE AVANT QUI Y EN AI QUI LE FASSENT DE TE FAIRE DEGAGER
Écrit par : JOANPAU | 05.11.2010
HADJAD FAIT ENCORE PARLER DE LUI
IL NE FAUDRAIT PAS OUBLIER QUE LES OCCITANT L'ONT ACCEUILLI LUI ET LES SIENS QUAND ILS ONT ETE FOUTU DEHORS D'ALGERIE ET CE TORDU DE LA TETE VEU FAIRE SA LOI ICI EN OCCITANIE
MAIS QU'ON LE FOUTE NOUS AUSSI DEHORS LUI ET LES SIENS LA TOLERANCE OCCITANE A DES LIMITES ET CE TYPE LES A DEPASSE
ALORS JE DIS BIEN FORT ''R. HADJD FERMES LA OU DEGAGE AVANT QUI Y EN AI QUI LE FASSENT DE TE FAIRE DEGAGER
Écrit par : JOANPAU | 05.11.2010
Dans un reportage pour la chaîne 7LTV (Montpellier), il dit que ce n'est pas une croisade contre l'Occitan. Mais Monsieur Hadjad a-t-il porté plainte également pour le panneau de signalisation 'Stop' qui devrait être 'Arrêt' comme au Québec? Ceci démontre bien que c'est de l'anti-Occitan et j'espère que le maire avancera cet argument.
Écrit par : Roman | 09.11.2010
Ne pas tomber dans le panneau !
Villeneuve lès Maguelone charmante commune de l’Hérault, en général plus évoquée pour sa prison qui abrita José Bové que par les signalisations posées à l’entrée de la ville.
Lorsque j’ai esté en justice avec le MRSP (Mouvement Républicain de Salut Public) que je préside, contre l’apposition de ces panneaux en occitan indiquant « Vilanova de Magalona » , je protestais contre l’invention d’un patronyme qui n’a aucune réalité historique.
Villeneuve c’était autrefois appelée « civitas Magualonensium » et la traduction en occitan n’est qu’une affabulation qui doit plus à la tendance régionaliste qu’à un passé local.
Si forte est, de nos jours, l’idée que le parler français est désuet, et si ancrée est, dans les mentalités de nos dirigeants la pensée qu’il faut faire table rase du passé de la nation française, que bien peu ne m’ont pas pris au sérieux lorsque j’ai déposé ma plainte. Ont me disait ironiquement que je jouais au David de Villeneuve lès Maguelone contre le Goliath de la nouvelle modernité.
Dès lors que j’ai gagné le procès, le choses changent. Les Occitanistes les plus extrêmes me sont tombés dessus comme à Gravelotte pour dénoncer le sectarisme supposé du petit citoyen que je suis. Le jeu consistant à se poser en martyr est classique. Il faut donc rétablir la vérité des faits.
Pour le MRSP, les parler régionaux, participent surement à la richesse de notre culture, et que chacun peut, s’il le veut, pratiquer librement la langue de sa région en France, en revanche, la question de leur statut dans la vie publique n’est pas une question de pure amabilité. Par exemple, leur officialisation institutionnelle peut être une porte ouverte vers la ratification de la Charte européenne des langues régionales et minoritaires. Si, demain, cette charte s’appliquait, elle obligerait les Etats qui l’ont ratifiée à donner, pour les minorités considérées, le droit à utiliser leur langue minoritaire dans leurs relations avec l’administration et l’Etat. N’importe qui pourrait, par exemple, ester en justice, œuvrer dans son travail, dans la langue de sa région. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si certaines critiques à l’égard du jugement font un parallèle avec la Catalogne qui, province aujourd’hui autonome en Espagne, a accordé le statut de langue officielle du catalan. Veut-on une autonomie de l’occitanie française ? Si c’est le cas, il faut le dire franchement et ne pas s’abriter derrière la langue comme si c’était un sympathique événement anodin, surtout alors que le patronyme occitan donné à Villeneuve est inventé pour asseoir la présence occitane.
En la matière, les juges ont simplement considéré le Code de la route qui prévoit que les panneaux d’entrées des communes sont destinés à renseigner ceux qui y passent et non à régler des comptes entre les tenants des langues nationales et locales, encore moins à poser la question de la disparition de la République une et indivisible.
On ne s’étonnera pas que les positions soient, pour l’instant, rester figées. Certains proclament que cette affaire est ubuesque, comme si le fait d’inventer un patronyme pour s’insérer dans un mouvement qui se cache derrière cette affaire de panneaux n’était pas ubuesque. Et justement, ce jugement à l’avantage de briser cet espèce de silence qui entoure, depuis des années, la destruction des structures républicaines. De petits pas en petits pas, de petits gestes en petits gestes, tout est fait pour dissoudre le peuple et la démocratie dont il est le seul acteur légitime dans l’espace européen d’une part, dans les particularismes régionaux d’autres parts.
Robert HADJADJ
Président MRSP (membre de l’Association pour une Constituante°
Écrit par : Robert HADJADJ | 13.11.2010
M. Hadjadj et son mouvement ne sont pourtant pas contre tous les régionalistes. En effet, sur son site, il se félicite de l'action de l'Institut Béarnais et Gascon qui assigne la ville de Billère/Vilhèra au tribunal pour son panneau d'entrée. Sauf qu'a l'IGB on est régionaliste mais d'extrême-droite. L'un de leur chantre est un ancien de l'OAS et du FN...
Gasconistes et jacobins, même combat !
A lire sur le site du MRPS : http://www.mouvementrépublicaindesalutpublic.org/spip.php?article10
Écrit par : Maime | 17.11.2010
Maime : Merci pour cet envoi mais très surprenant de constater que le document n'est pas daté, les compléments ne sont pas joints ce qui fait qu'il est impossible de savoir les raisons de cette action. Votre document ressemble terriblement à un faux comme il en circule beaucoup sur Internet. Monsieur Hadjadj ne serait pas à cela près.
Écrit par : Lopirolon | 17.11.2010
En tous les cas, la ville de Billère est la cible des gasconistes et de l'IGB régulièrement (on vole même le panneau en occitan). Le document me paraît donc plausible. C'est à l'IGB de dire si c'est un faux ou non. Par ailleurs, ce qui me paraît significatif c'est le nationalisme de M. Hadjadj. A partir du moment ou l'on défend la nation française contre l'ennemi intérieur occitan, peut importe qu'on soit un régionaliste proche de l'extrême-droite.
Écrit par : Maime | 17.11.2010
Je ne connaissais pas le contexte Béarnais avant que de recevoir votre réponse. Je me la suis fais expliquer et j'ai découvert qu'en effet, l'IGB était de mouvance FN. Vous voudrez bien m'excuser mon ignorance sur cette particularité Béarnaise. Là ou c'est cocasse c'est de voir un artisan Juif à la retraite, se réclamant de la Majorité Présidentielle, heureux d'avoir fait des émules dans l'Extrême droite.
Écrit par : Lopirolon | 17.11.2010
Mr hadjaj oublie tout un pan de l'histoire occitane pour reprendre un nom latin.qu'il aille demander au locuteur d'occitant comment ils appellent leur villes.
de plus vous melangez combat politique et culturel,venez en basse bretagne où tous les panneaux sont bilingues (rues batiments publics ,supermarchés),vous serez surpris de voir que le breton peut aussi bien vehiculer les idées de la republique que le français.
si la republique renie l'identite culturelle des peuples qui la compose, ces peuples renieront la republique.
Écrit par : kwrlii | 26.11.2010
Faisons comme les corses : un seul panneau, mais en corse.
Écrit par : ceregam | 08.12.2010
Le message de JOANPAU du 5/11/2010 est l'exemple de ce qu'il ne faut pas répondre.
Il est fini le temps des 'chez nous' et des 'dégagez'.
Ce n'est pas en opposant au 'Chez nous en France' de Hadjadj un 'Chez nous en Occitanie' (ou 'en Languedoc' ou ...) qu'on fait avancer les choses.
La réponse c'est du côté de 'Chez les hommes libres' l'usage des langues et des patrimoines territoriaux doit être libre.
L'idée de 'République' de Hadjadj est archaïque et rétrograde.
C'est ça qu'il faut montrer.
Il ne faut pas attaquer la personne mais les idées.
Il faut lire 'Nos ancêtres les Gaulois et autres fadaises' de REYNAERT (Fayard), le premier livre clair et honnête de l'histoire en France à destination du grand public. Ca nous sort de 'l'histoire de France' avec ses mythes élaborés surtout au XIXe siècle. On respire. Il n'y est guère question l'occitan, mais c'est à partir de là qu'on peut s'en prendre aux nationalistes du genre d'Hadjadj, Mélenchon, Le Pen, etc.
Lo Lausèrt
Écrit par : Granier | 09.12.2010
Mr. HADJADJ ne sait même pas de quoi il parle : un patronyme, contrairement à ce qu'il affirme est un nom de personne et non un nom de lieu. Vraiment, Mort de rire ! Et ce Mr se targue de défendre la langue française ?!? Qu'il l'apprenne le sens des mots qu'il emploie avant jouer au Zorro sou couvert de défendre son comunautarisme ethno-français. La 'République' à laquelle se réfère Mr. HADJADJ sur son site internet est celle de 1793, intolérante, unifomatrice, responsable de massacres de centaines de milliers de Français, dont l'instrument favori a été la guillotine, et qui a amorcé une politique d'éradication des langues régionales... bref un régime bien spécifique d'Etat-Nation basée sur la Terreur, en lutte contre les peuples, contre les minorités linguistiques et contre l'étranger, et qui a servit de modèles à divers régimes totalitaires au XXe s. (URSS, et autres Pays de l'Est qui se disaient 'République' et 'indivisible' également).
Écrit par : Momo | 12.12.2010
Mr HADJADJ use de la réthorique habituelle des anti-langues régionales et il est bien vain d'essayer de faire croire le contraire. Toute la panoplie classique du petit Robespierre y est :
On dit 'parlers régionaux' quand on nie l'existence de 'langues'. Autrefois, on disait patois et idiomes par mépris.
On dit qu'on invente des noms de lieux pour faire croire que ces langues n'ont pas de légimtité et qu'elles ne sont pas ou n'ont pas été parlées sur tel ou tel territoire. Il n'est pas foutu de se renseigner auprès des locuteurs occitans parmi lesquels il vit. C'est plus facile de faire comme s'il n'existaient pas, comme leur langue.
Chacun est libre de pratiquer sa langue dit-il, pourtant un seul nom de commune écrit en occitan sur un panneau est illégal. Alors où est cette liberté ?
On agite l'épouvantail de la Charte des Langues régionales et minoritaires, forcément un machin européen lointain et dangereux. Pourtant, il n'y a aucun projet actuel en France pour ratifier cette charte. La France l'a signée mais non ratifiée car la Constitution ne le permet pas. Bref, seul un changement dans la Constitution l'autoriserait et on ne voit pas en quoi un panneau installé à Villeneuve la Maguelone va influer sur la Constitution !!! Tous les amalgames sont bons pour dire n'importe quoi. On peut rappeler d'ailleurs, que parmi les Etats ayant ratifiés cette charte il y a l'Allemagne, l'Espagne, la Suisse, la Pologne, le Danemark, la Finlande, les Pays-Bas, etc. au total : 24 Etats européens qui sont donc tous composés d'attardés mentaux ou dangereux ?
La pratique des langues régionales va dissoudre le peuple et la démocratie, écrit-il. Foutaise. Les Langues régionales ont été pratiquées et se pratiquent toujours par des millions de Français, qui font partie du Peuple ! Ne pas repecter les langues de ces milions de citoyens, c'est nier la démocratie en en faisnt des sous-cotyens, comme au bon vieux temps des colonies. Va falloir expliquer au Peuple également, pourquoi doit-on retirer ces panneaux qui sont le fruit de la volonté du Peuple et de leurs élus locaux. On va rigoler en Corse, en Bretagne ou au Pays Basque, où 98 % des communes en disposent !
Écrit par : Per | 12.12.2010
– Envoyé à l'aide de la barre d'outils Google"
Robert HADJADJ, un glandeur anti tout! Les Occitans te disent MERCI!
Saint du jour : Sainte Emeline
Contrepèteries : Ce fonceur n’aime pas les cars.
Les sentinelles répandaient leurs bières dans les guérites.
Le mélèze cache plein de bardes.
Quelle incitation pour les fèves.
Dicton Français : L’amitié n’a pas d’âge ni de temps.
Dicton Juif : Il vaut mieux travailler à l’étranger que mourir chez soi.
Dicton Africain : La persévérance est un talisman pour la vie.
Dicton Occitan : Es sot coma rauba saumas. Il est sot comme un voleur d'ânesse
Proverbe Chinois : Un homme heureux est un homme qui se contente de peu (Confucius)
Robert Hadjadj, un glandeur anti tout ! Les Occitans te disent MERCI !
On nous dit que les Tribunaux sont surchargés, plus le temps de s’occuper les dossiers. Finalement, les Français estiment dans leur majorité, que la Justice ne fait pas son travail ou le fait très mal.
Mais encore faudrait-il que les affaires qui lui sont soumises aient de l’importance et dans certains cas soient partagées par un nombre suffisants de Français.
Sans doute, l’article concernant la municipalité de Villeneuve-lès-Maguelone et ses panneaux indicateurs écrits en Occitan, est-il passé inaperçu aux yeux de nombreux Français, mais il n’est pas passé inaperçu aux nombreux Occitans. Le responsable de cette plainte : Monsieur Robert HADJADJ, se disant Président d’un association complètement inconnue de maboules se disant de purs Républicains, le MRSP, Mouvement Républicain de Salut Public.
Monsieur Hadjadj sait-il que le Comité se Salut Public avait des pouvoirs illimités et gouverna de façon dictatoriale, contrairement à ce que pourrait faire penser le but de l’association de ce pantin histerico-procédurier.
Je ne sais pas si ce Monsieur habite dans la région et à Villeneuve-lès-Maguelone, mais si je peux me permettre, si les panneaux en Occitan le gène, il n’a qu’à aller habiter ailleurs. Je ne suis ni raciste, ni antisémite, mais peut-être, Monsieur Robert Hadjadj devrait-il aller en Israël, il pourra toujours y combattre, autre chose que des panneaux de circulation.
Il me vient une idée, très saugrenue. Si les panneaux en Occitan sont interdits à cause de ce Monsieur de confession juive, peut-être devrait-on faire interdire toutes les inscriptions en Hébreu figurant sur certains magasins, par exemple de viande Kasher, et même faire interdire les caractères hébreux sur les synagogues. Mais je ne souhaiterais pas ce type d’ennuis à mes nombreux amis Juifs du Sentier et de la région Parisienne.
En attendant, Monsieur Hadjadj, si vous habitez la région, vous allez avoir beaucoup de travail car l’Occitanie, ce sont 31 départements, réunissant plus de 17 millions d’habitants dont au minimum 10% parlent plus ou moins couramment l’Occitan. Plus de 1,5 millions d’Occitans parlant cette langue vivante, plus les nombreux Occitans, qui, comme moi, ne parle pas l’Occitan mais sont de culture Occitane, cela vaut bien quelques panneaux routiers, c’est un minimum de reconnaissance.
Monsieur Hadjadj, votre association n’ayant rien à faire et n’étant aucunement Républicaine, peut-être pourriez-vous la renommer :
Minable Rassemblement du Saltimbanque Procédurier.
En attendant , Monsieur, les Occitans connaissent suffisamment les dictons Yiddish et il en est un que nous n’oublierons pas, puisque vous avez donné et que nous avons reçu :
QUI DONNE NE DOIT JAMAIS S’EN SOUVENIR, QUI REÇOIT NE DOIT JAMAIS OUBLIER.
15:13 Publié dans SUPER COUP DE GUEULE | Lien permanent | Commentaires (13) | Envoyer cette note | Tags : robert hadjadj, occitan, occitanie, villeneuve-lès-maguelone, panneaux routiers, procédurier, salut public, mrsp, hébreu, interdiction
Commentaires
HADJAD FAIT ENCORE PARLER DE LUI
IL NE FAUDRAIT PAS OUBLIER QUE LES OCCITANT L'ONT ACCEUILLI LUI ET LES SIENS QUAND ILS ONT ETE FOUTU DEHORS D'ALGERIE ET CE TORDU DE LA TETE VEU FAIRE SA LOI ICI EN OCCITANIE
MAIS QU'ON LE FOUTE NOUS AUSSI DEHORS LUI ET LES SIENS LA TOLERANCE OCCITANE A DES LIMITES ET CE TYPE LES A DEPASSE
ALORS JE DIS BIEN FORT ''R. HADJD FERMES LA OU DEGAGE AVANT QUI Y EN AI QUI LE FASSENT DE TE FAIRE DEGAGER
Écrit par : JOANPAU | 05.11.2010
HADJAD FAIT ENCORE PARLER DE LUI
IL NE FAUDRAIT PAS OUBLIER QUE LES OCCITANT L'ONT ACCEUILLI LUI ET LES SIENS QUAND ILS ONT ETE FOUTU DEHORS D'ALGERIE ET CE TORDU DE LA TETE VEU FAIRE SA LOI ICI EN OCCITANIE
MAIS QU'ON LE FOUTE NOUS AUSSI DEHORS LUI ET LES SIENS LA TOLERANCE OCCITANE A DES LIMITES ET CE TYPE LES A DEPASSE
ALORS JE DIS BIEN FORT ''R. HADJD FERMES LA OU DEGAGE AVANT QUI Y EN AI QUI LE FASSENT DE TE FAIRE DEGAGER
Écrit par : JOANPAU | 05.11.2010
Dans un reportage pour la chaîne 7LTV (Montpellier), il dit que ce n'est pas une croisade contre l'Occitan. Mais Monsieur Hadjad a-t-il porté plainte également pour le panneau de signalisation 'Stop' qui devrait être 'Arrêt' comme au Québec? Ceci démontre bien que c'est de l'anti-Occitan et j'espère que le maire avancera cet argument.
Écrit par : Roman | 09.11.2010
Ne pas tomber dans le panneau !
Villeneuve lès Maguelone charmante commune de l’Hérault, en général plus évoquée pour sa prison qui abrita José Bové que par les signalisations posées à l’entrée de la ville.
Lorsque j’ai esté en justice avec le MRSP (Mouvement Républicain de Salut Public) que je préside, contre l’apposition de ces panneaux en occitan indiquant « Vilanova de Magalona » , je protestais contre l’invention d’un patronyme qui n’a aucune réalité historique.
Villeneuve c’était autrefois appelée « civitas Magualonensium » et la traduction en occitan n’est qu’une affabulation qui doit plus à la tendance régionaliste qu’à un passé local.
Si forte est, de nos jours, l’idée que le parler français est désuet, et si ancrée est, dans les mentalités de nos dirigeants la pensée qu’il faut faire table rase du passé de la nation française, que bien peu ne m’ont pas pris au sérieux lorsque j’ai déposé ma plainte. Ont me disait ironiquement que je jouais au David de Villeneuve lès Maguelone contre le Goliath de la nouvelle modernité.
Dès lors que j’ai gagné le procès, le choses changent. Les Occitanistes les plus extrêmes me sont tombés dessus comme à Gravelotte pour dénoncer le sectarisme supposé du petit citoyen que je suis. Le jeu consistant à se poser en martyr est classique. Il faut donc rétablir la vérité des faits.
Pour le MRSP, les parler régionaux, participent surement à la richesse de notre culture, et que chacun peut, s’il le veut, pratiquer librement la langue de sa région en France, en revanche, la question de leur statut dans la vie publique n’est pas une question de pure amabilité. Par exemple, leur officialisation institutionnelle peut être une porte ouverte vers la ratification de la Charte européenne des langues régionales et minoritaires. Si, demain, cette charte s’appliquait, elle obligerait les Etats qui l’ont ratifiée à donner, pour les minorités considérées, le droit à utiliser leur langue minoritaire dans leurs relations avec l’administration et l’Etat. N’importe qui pourrait, par exemple, ester en justice, œuvrer dans son travail, dans la langue de sa région. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si certaines critiques à l’égard du jugement font un parallèle avec la Catalogne qui, province aujourd’hui autonome en Espagne, a accordé le statut de langue officielle du catalan. Veut-on une autonomie de l’occitanie française ? Si c’est le cas, il faut le dire franchement et ne pas s’abriter derrière la langue comme si c’était un sympathique événement anodin, surtout alors que le patronyme occitan donné à Villeneuve est inventé pour asseoir la présence occitane.
En la matière, les juges ont simplement considéré le Code de la route qui prévoit que les panneaux d’entrées des communes sont destinés à renseigner ceux qui y passent et non à régler des comptes entre les tenants des langues nationales et locales, encore moins à poser la question de la disparition de la République une et indivisible.
On ne s’étonnera pas que les positions soient, pour l’instant, rester figées. Certains proclament que cette affaire est ubuesque, comme si le fait d’inventer un patronyme pour s’insérer dans un mouvement qui se cache derrière cette affaire de panneaux n’était pas ubuesque. Et justement, ce jugement à l’avantage de briser cet espèce de silence qui entoure, depuis des années, la destruction des structures républicaines. De petits pas en petits pas, de petits gestes en petits gestes, tout est fait pour dissoudre le peuple et la démocratie dont il est le seul acteur légitime dans l’espace européen d’une part, dans les particularismes régionaux d’autres parts.
Robert HADJADJ
Président MRSP (membre de l’Association pour une Constituante°
Écrit par : Robert HADJADJ | 13.11.2010
M. Hadjadj et son mouvement ne sont pourtant pas contre tous les régionalistes. En effet, sur son site, il se félicite de l'action de l'Institut Béarnais et Gascon qui assigne la ville de Billère/Vilhèra au tribunal pour son panneau d'entrée. Sauf qu'a l'IGB on est régionaliste mais d'extrême-droite. L'un de leur chantre est un ancien de l'OAS et du FN...
Gasconistes et jacobins, même combat !
A lire sur le site du MRPS : http://www.mouvementrépublicaindesalutpublic.org/spip.php?article10
Écrit par : Maime | 17.11.2010
Maime : Merci pour cet envoi mais très surprenant de constater que le document n'est pas daté, les compléments ne sont pas joints ce qui fait qu'il est impossible de savoir les raisons de cette action. Votre document ressemble terriblement à un faux comme il en circule beaucoup sur Internet. Monsieur Hadjadj ne serait pas à cela près.
Écrit par : Lopirolon | 17.11.2010
En tous les cas, la ville de Billère est la cible des gasconistes et de l'IGB régulièrement (on vole même le panneau en occitan). Le document me paraît donc plausible. C'est à l'IGB de dire si c'est un faux ou non. Par ailleurs, ce qui me paraît significatif c'est le nationalisme de M. Hadjadj. A partir du moment ou l'on défend la nation française contre l'ennemi intérieur occitan, peut importe qu'on soit un régionaliste proche de l'extrême-droite.
Écrit par : Maime | 17.11.2010
Je ne connaissais pas le contexte Béarnais avant que de recevoir votre réponse. Je me la suis fais expliquer et j'ai découvert qu'en effet, l'IGB était de mouvance FN. Vous voudrez bien m'excuser mon ignorance sur cette particularité Béarnaise. Là ou c'est cocasse c'est de voir un artisan Juif à la retraite, se réclamant de la Majorité Présidentielle, heureux d'avoir fait des émules dans l'Extrême droite.
Écrit par : Lopirolon | 17.11.2010
Mr hadjaj oublie tout un pan de l'histoire occitane pour reprendre un nom latin.qu'il aille demander au locuteur d'occitant comment ils appellent leur villes.
de plus vous melangez combat politique et culturel,venez en basse bretagne où tous les panneaux sont bilingues (rues batiments publics ,supermarchés),vous serez surpris de voir que le breton peut aussi bien vehiculer les idées de la republique que le français.
si la republique renie l'identite culturelle des peuples qui la compose, ces peuples renieront la republique.
Écrit par : kwrlii | 26.11.2010
Faisons comme les corses : un seul panneau, mais en corse.
Écrit par : ceregam | 08.12.2010
Le message de JOANPAU du 5/11/2010 est l'exemple de ce qu'il ne faut pas répondre.
Il est fini le temps des 'chez nous' et des 'dégagez'.
Ce n'est pas en opposant au 'Chez nous en France' de Hadjadj un 'Chez nous en Occitanie' (ou 'en Languedoc' ou ...) qu'on fait avancer les choses.
La réponse c'est du côté de 'Chez les hommes libres' l'usage des langues et des patrimoines territoriaux doit être libre.
L'idée de 'République' de Hadjadj est archaïque et rétrograde.
C'est ça qu'il faut montrer.
Il ne faut pas attaquer la personne mais les idées.
Il faut lire 'Nos ancêtres les Gaulois et autres fadaises' de REYNAERT (Fayard), le premier livre clair et honnête de l'histoire en France à destination du grand public. Ca nous sort de 'l'histoire de France' avec ses mythes élaborés surtout au XIXe siècle. On respire. Il n'y est guère question l'occitan, mais c'est à partir de là qu'on peut s'en prendre aux nationalistes du genre d'Hadjadj, Mélenchon, Le Pen, etc.
Lo Lausèrt
Écrit par : Granier | 09.12.2010
Mr. HADJADJ ne sait même pas de quoi il parle : un patronyme, contrairement à ce qu'il affirme est un nom de personne et non un nom de lieu. Vraiment, Mort de rire ! Et ce Mr se targue de défendre la langue française ?!? Qu'il l'apprenne le sens des mots qu'il emploie avant jouer au Zorro sou couvert de défendre son comunautarisme ethno-français. La 'République' à laquelle se réfère Mr. HADJADJ sur son site internet est celle de 1793, intolérante, unifomatrice, responsable de massacres de centaines de milliers de Français, dont l'instrument favori a été la guillotine, et qui a amorcé une politique d'éradication des langues régionales... bref un régime bien spécifique d'Etat-Nation basée sur la Terreur, en lutte contre les peuples, contre les minorités linguistiques et contre l'étranger, et qui a servit de modèles à divers régimes totalitaires au XXe s. (URSS, et autres Pays de l'Est qui se disaient 'République' et 'indivisible' également).
Écrit par : Momo | 12.12.2010
Mr HADJADJ use de la réthorique habituelle des anti-langues régionales et il est bien vain d'essayer de faire croire le contraire. Toute la panoplie classique du petit Robespierre y est :
On dit 'parlers régionaux' quand on nie l'existence de 'langues'. Autrefois, on disait patois et idiomes par mépris.
On dit qu'on invente des noms de lieux pour faire croire que ces langues n'ont pas de légimtité et qu'elles ne sont pas ou n'ont pas été parlées sur tel ou tel territoire. Il n'est pas foutu de se renseigner auprès des locuteurs occitans parmi lesquels il vit. C'est plus facile de faire comme s'il n'existaient pas, comme leur langue.
Chacun est libre de pratiquer sa langue dit-il, pourtant un seul nom de commune écrit en occitan sur un panneau est illégal. Alors où est cette liberté ?
On agite l'épouvantail de la Charte des Langues régionales et minoritaires, forcément un machin européen lointain et dangereux. Pourtant, il n'y a aucun projet actuel en France pour ratifier cette charte. La France l'a signée mais non ratifiée car la Constitution ne le permet pas. Bref, seul un changement dans la Constitution l'autoriserait et on ne voit pas en quoi un panneau installé à Villeneuve la Maguelone va influer sur la Constitution !!! Tous les amalgames sont bons pour dire n'importe quoi. On peut rappeler d'ailleurs, que parmi les Etats ayant ratifiés cette charte il y a l'Allemagne, l'Espagne, la Suisse, la Pologne, le Danemark, la Finlande, les Pays-Bas, etc. au total : 24 Etats européens qui sont donc tous composés d'attardés mentaux ou dangereux ?
La pratique des langues régionales va dissoudre le peuple et la démocratie, écrit-il. Foutaise. Les Langues régionales ont été pratiquées et se pratiquent toujours par des millions de Français, qui font partie du Peuple ! Ne pas repecter les langues de ces milions de citoyens, c'est nier la démocratie en en faisnt des sous-cotyens, comme au bon vieux temps des colonies. Va falloir expliquer au Peuple également, pourquoi doit-on retirer ces panneaux qui sont le fruit de la volonté du Peuple et de leurs élus locaux. On va rigoler en Corse, en Bretagne ou au Pays Basque, où 98 % des communes en disposent !
Écrit par : Per | 12.12.2010
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